Shriya Saran Kajal Agarwal Anushka Shetty Tamanna Ileana Aishwarya Rai Katrina Kaif

Monday, October 6, 2008

Aap Ki Khatir

Aap Ki Khatir

Acteurs :

Réalisateur : Dharmesh Darshan

Année : 25 aout 2006

Musique : Himesh Reshammiya

Site Officiel : http://www.aapkikhatirfilm.com/main.htm

Résumé :

Priyanka Chopra est Anu, une fille innocente, romantique et qui veut trouver l’ homme idéal à tout prix.

Akshaye Khanna est Aman, un homme très sur de lui, qui sait ce qu’il veut dans la vie. Il travaille avec Anu à Londres.

Amisha Patel est Shirani, une jeune futur mariée avec des rêves pleins la tête, elle attend ardemment l’union avec l’homme de ses rêves.
Mais le bonheur sera-t-il vraiment là ?


Sunil Shetty est Kunal , un très bel homme généreux, attentionné et assez mature pour comprendre les complexités d’une relation amoureuse.
Pas de doute, c’est un homme pour qui on donnerait sa vie.

Dino Morea est Danny, l’éternel charmeur, beau gosse, sans cesse amoureux. Il croit qu’aucune femme ne peut lui résister si il l’a décidé .

Anupam Kher est Arjun Khanna et Lillette Dubey est Betty Khanna, ils sont mariés et veillent sur Anu et Shirani.

Le film débute avec Anu qui prend l’avion pour assister au mariage de sa belle sœur Shirani, avec Kunal.

Mais, en réalité, Anu veut retrouver Danny, l’homme de ses rêves er rester avec lui pour toujours.

Dans le but de rendre Dany jaloux, Anu convainc son collègue Aman de l’accompagner au mariage.


Parmi la splendeur et le faste du mariage de Shirani, les secrets les plus sombres et les relations les plus inattendues se révèlent, menant à un enchaînement qui changera les vies d'Anu, d'Aman, de Shirani, de Danny et de Kunal de différentes façons…

Est ce que le véritable amour d’Anu est Danny ?

Shirani sera-t-elle heureuse dans son mariage avec Kunal?

Photos :


Lage Raho Munnabhai

Acteurs : Sanjay Dutt, Arshad Warsi, Vidya Balan, Boman Irani, Dia Mirza, Abhishek Bachchan

Réalisateur : Raju Hirani

Année : 1 septembre 2006

Musique : Shantanu Moitra

Résumé :

Après avoir voulu obtenir son diplôme en médecine pour amadouer ses parents, Munna (Sanjay Dutt) et son ami Circuit (Arshad Warsi) sont de retour pour des aventures encore plus décapantes. Il se trouve que dans cette suite de Munnabhai M.B.B.S (2003), tout semble aller pour le mieux pour notre héros. Ses affaires marchent à merveille.

Mais Munna est tombé sous le charme de Jhanvi, (Vidya Balan), célèbre animatrice à la radio. Il fond littéralement au son de sa voix et rêve de l'épouser. Mais seul hic : Jhanvi croit que Munna est un professeur d'histoire.

Un beau jour, la jeune femme l'invite à faire un exposé d'histoire à sa famille. Munna se retrouve alors dans de beaux draps. Mais Circuit vient avec une brillante idée qui mènera Munna à se retrouver face à face avec le Mahatma Gandhi...

Ce film du producteur Vinod Chopra (Parineeta, Karreb, Mission Kashmir, Khamosh, etc.) est prédit pour être l'un des blockbusters de cette année. On retrouve comme interprètes les chanteurs Shaan, Shreya Goyal, récemment en tournée chez nous, Sonu Nigam, entre autres.

Site Officiel : http://www.lagerahomunnabhai.com/

Photos :


Comme énoncé dans l'article auparavant, hier a eu lieu les MTV VIDEO MUSIC AWARDS à New York. Shakira a fait une belle performance sous la direction de la célèbre chorégraphe indienne Farah Khan. Une chorégraphie au style Bollywood pour la chanson Hips Don't Lie où Shakira portée une tunique indienne rose., avec autour d'elle des danseuses indiennes.

Shakira aurait meme demandé à Farah Khan de lui faire un clip video pour sa prochaine chanson. Elle a egalement dit qu'elle aimait bien Shahrukh Khan, et qu'il était le Tom Cruise indien.

Voici la video de la performance de Shakira au MTV VIDEO MUSIC AWARDS 2006. Moi, je n'aime pas trop, Shakira nous fait la choré du clip !! rien de nouveau koi et on ne voit meme pas les danseuses derieres. Je m'attendais à un quelque chose dans un style plus Bollywood à part qu'elle est habillé comme une indienne il aurait pu au moins remixé la chanson Hips Don't Lie version bollywood. Par contre j'ai bien aimé l'intro avec la musique classique indienne mais trop court, mais aussi sa tenue. On peut remarquer sur les ecrans une affiche de film Bollywood je crois ?


Dilwale Dulhania Le Jayenge

Acteurs : Shahrukh Khan, Kajol, Amrish Puri

Réalisateur : Aditya Chopra

Année : 1995

Résumé :

Suivant la tradition, une jeune femme de vingt ans d’origine indienne et élevée à Londres, Simran, est promise par son père au fils de son meilleur ami. Avant de rentrer au Punjab pour épouser cet inconnu, elle obtient de son paternel le droit d’enterrer sa vie de jeune fille dans une virée d’un mois de totale débauche en territoire franco-suisse...

Comme presque toujours, les films indiens durent 90’ de trop, pas seulement parce que les numéros dansés et chantés doublent automatiquement l’irréductible (et assez long) métrage présupposément indispensable au bon déroulement du récit (l’ellipse, c’est quand même pas fait pour les Deschiens) ; ces six quarts d’heure de sus sont, après tout, pourquoi pas ? peut-être bien nécessaires à l’arrivée, à l’immersion, à l’installation, à la dînette ou à la causette des spectateurs retardataires dans le rituel d’une séance de cinéma typiquement indienne et, du coup, par conséquent, systématiquement bâclés, plus ou moins librement consentis, sciemment massacrés, en toute connaissance de cause bradés, par les réalisateurs et les producteurs bollywoodiens modernes et post-modernes. Ici, la première partie, celle de l’exposition des faits et, osons le dire, de la problématique, est filandreuse, malgré les deux jolies chansons qui y sont intercalées (Ruk Ja O Dil Deewane, rock dansé par des dizaines de girls en mini-robe rouge, béret basque et bottes noires ; Zara Sa Jhoom, chanson sur le thème de la nuit exquise-nuit câline-nuit d’ivresse) et l’esquisse du leit motiv (du gimmick) musical joué à la... mandoline par le « jeune » Roméo (Raj) qu’interprète dans un style gesticulatoire, débridé, décomplexé l’hyperstar Shahrukh Khan.

Idéologiquement, cette première partie ne convainc pas non plus. On y prône l’ignorance la plus crasse : le père du héros (qui vient de rater son examen, pourtant fastoche, de fin d’études) félicite son rejeton, estimant que celui-ci s’inscrit dans une tradition familiale qui ne l’empêchera pas dormir et de réussir (c’est-à-dire de devenir millionnaire comme lui). On y fait l’éloge d’une jeunesse « dorée », passant son temps à faire la « fête » en picolant entre garçons, en pratiquant les jeux et les activités physiques codifiés par les Britanniques (cf. article sur Les Demoiselles en détresse) : rugby, natation, course à pied, basket-ball, y compris les plus crétins (ceux dits mécaniques comme le kart, le motocyclisme, le "sport" automobile, etc.).

La jeune fille, quant à elle, est immolée, sacrifiée, prise dans un double bind d’Inde dingue : entre une brute épaisse et un lourdaud, entre son futur (en l’occurrence, elle semble hésiter, un moment tentée par la fugue, se disant alors qu’un tiens vaut mieux que deux tu l’auras) mari (qui incarne la tradition) et son présent (et imprésentable, celui-ci étant dès le départ grillé auprès du pater familias, boutiquier, proprio ou gérant d’un drugstore-pharmacy, personnage ugotognazien, albertosordien ou aldomaccionesque, apparemment soupe-au-lait qui, pour signifier la contrariété, roule ostensiblement des yeux, juge les enfants de la deuxième génération indo-british pervertis, gâtés, voire dégénérés, et ne se laisse pas impressionner outre mesure par les Porsche noires de ces fils-à-papas) prétendant, pas très reluisant, certes, au premier abord, du moins, qui plus est, macho, mais qui, ouf ! saura séduire la jouvencelle par ses dons artistiques inattendus et sa pratique étonnante de la musique (piano, surtout, mandoline, accessoirement, chant, humour, castagnettes, cognac, tango, petites pépées, et plus si affinités). Sans parler de son sens de l’auto-dérision (make’m laugh !) et de ses audacieuses tenues tyroliennes. Ce qui est bien avec le spectacle, c’est que le costume finit toujours par l’emporter sur la coutume.

Le thème shakespearien de l’amour empêché, réprimé, repoussé (parfois repoussant), différé se mâtine à celui mozartien de l’enlèvement au sérail de la jeune fiancée qui, avec celui, duchampien, de La Mariée mise à nu par ses célibataires, même, semble constituer un sujet de discorde opposant générations, Inde et Occident, enracinés (sédentaires) et nomades (tziganes du Nord-Ouest de l’Inde, au sens de Latcho Drom). Le rapt de l’épousée, acte tout ce qu’il y a de plus anti-social au départ, dont on trouve trace en Méditerranée, en particulier en Sicile et en Corse (cf. Colomba), est apparemment aussi une coutume romantico-rom (à ce titre respectable), comme l’attestent les poèmes andalous et les pièces de théâtre de Lorca. Le père du héros prononce deux phrases qui auraient pu être extraites du Romancero gitano : « On ne contemple pas la lune, on la décroche. L’épouse est à qui l’enlève. »

La deuxième partie du film nous réconcilie avec la magie du cinéma indien, sa démesure mélodramatique, sa nostalgie trouble (la scène du retour au pays en train s’accompagne des paroles d’une charmante chanson populaire : « Reviens de voyage, ton pays te réclame avec ardeur »), sa déconstruction esthétique et technique du cinéma hollywoodien (les focales approximatives du cinemascope qui font littéralement se gondoler le train, par exemple) ou même de celui déjà au second degré de Cinecittà (panoramiques saccadés, brusques coups de zooms typiquement années 70), ses règles assez floues en matière chorégraphique (mélangeant sans complexe figures de katak, d’arts martiaux, de voguing, de pantomime) ou vestimentaire (à chaque plan, le jeune premier étrenne une nouvelle chemise en coton, coupée sur mesure et portée de façon décontrac’, par-dessus le pantalon).

La bagarre finale (If you’re looking for trouble...), style western-spaghetti, aux coups passant au minimum à un mètre de ler cible, aux bruitages hyperboliques inspirés par les chefs d’œuvre de Bud Spencer et de Terence Hill, est déjà une scène d’anthologie. On est loin du sérieux, du film d’auteur à la française. Le casting lui-même est anti-naturaliste : le comédien au crâne un peu dégarni qui joue le rôle du père du héros a, grosso modo, le même âge que lui...


Ma critique du film : Moi j'ai bien aimé, l'histoire, la musique, les acteurs, c'est un classique quoi !!! Les mimike de srk commencent à me souler c'est toujours les memes. Mais également tjrs il joue toujours le meme personnage dans la plupart de ses films ; le gentil rigolo avec tjrs une pointe d humour. Kajol est sublime elle est toute maigre et toute jeune. On debut on voit Karan Johar qui joue l'ami de Srk, je l'avais pas reconnu. La scène emouvant pour moi c'est celle des combats car ca faisait longtemps que je n'ai vu les scène de combats dans une histoire d'amour. Par contre j'ai trouvé ca injuste quand meme pour la famille du marié et aussi pour la soeur qui aime Srk. Bref, c'est un un bon film drole et sympatique.

Ma note : 7/10

Photos :


Aishwarya Rai ne veut pas faire un film avec son ancien petit ami Salman Khan même dans ses pires cauchemars. Aishwarya et Salman ont joué ensemble dans un seul film « Hum Dil De Chuke Sanam », cependant ils étaient encore ensemble, amoureux. Maintenant qu'ils se sont séparés ils ne peuvent meme plus se voir en face.

Après leur rupture, Aishwarya a acclamé qu'elle avait été maltraité physiquement et mentalement par Salman. Aishwarya Rai ne veut plus avoir affaire avec lui et semble ne pas etre remis de sa rupture avec Khan. Mais il semble que Salman n'a pas perdu ses liens avec Aishwarya Rai . Dans une entrevue récente Salman a dit que ca le derangerait pas plus que ca de faire un film avec Aishwarya. « Je garde mes affaires personnels en dehors de ma vie professionelle » Salman clarifie. Voyons si des directeurs peuvent les réunir sur l'écran.


Deepika Padukone est la fille de l'ancien champion indien Prakash Padukone de badminton . Elle devient une figure importante en tant mannequin. En parallele, elle a été été vu dans de nombreuses publicités indiennes ainsi que de videos clip de Himesh Reshmmiya. Il était supposé qu'elle joue son tout premier role au cinéma dans Happy New Year de Farah Khan avec Shah Rukh Khan. Cependant, en raison de sa mauvaise chance le film ne verra pas le jour.

Le prochain film de Deepika est Pirate de Priyadarshan dont le tourange devrait débuter au plus vite. Mais Priyadarshan est occupé avec son film Bhagam Bhag, donc aucune date sure pour le tourange.

Mais Deepika a été conctater pour le film tamoul Chennayil Oru Mazhakkalam (Moussons à Chennai). Par ailleurs, elle n'était pas le choix initial pour le film. Une autre actrice a été choisie mais dues à des problèmes de planning, l'actrice ne pouvait pas assigner des dates. Ainsi le réalisateur Gautam Menon a décidé choisir une autre actrice. Et par conséquent ce fut Deepika.

Maintenant reste à voir comment Deepika va se débrouiller pour ses début au cinéma.

Ce n'est pas possible, toutes les top models en Inde vont devenir actrices, j'en été sur qu'elle allait jouer dans un film elle a la cote cette fille en ce moment. Comme l'a dit justin les réalisateur sont plus interessé par le physique que leur talent d'actrice. Seul le physique compte !!!

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