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Tuesday, October 7, 2008

Abhishek the Sexiest Asian 2006

Abhishek Bachchan a été élu l'homme le plus sexy des Asiatiques selon le magazine anglais "Eastern Eye" tandis que Priyanka Chopra a été élue la femme la plus sexy.

The top 10 sexiest Asian men are:


1 Abhishek Bachchan



2 John Abraham



3 Aamir Khan



4 Hrithik Roshan/ Dino Morea



6 Yatin Sonic



7 Upen Patel



8 Arjun Rampal



9 Saif Ali Khan



10 Jay Sean

10

Ce sont tous des indiens à part un seul, cela signifie que les indiens sont les plus sexy de l'Asie ???

Salman Khan en fille lol déguisé pour les besoins de son prochain film avec Akshay Kumar et Preity Zinta "Jaan E Mann". Il est pas mal je trouve lol

IPB Image




Bodega Films

En marge des productions tapageuses de Bollywood s’imposent peu à peu des films d’auteur. Plus modernes, plus audacieux, mais pas forcément rentables.

Fin 2005, Bombay. Au dernier étage d’un immeuble désaffecté, Madhur Bhandarkar, l’un des cinéastes indépendants les plus réputés d’Inde, tourne Corporate. Dans un coin, la jeune star Bipasha Basu se remaquille nonchalamment, tandis que l’acteur Rajat Kapoor nous précise dans un sourire que, non, il ne fait pas partie de la famille régnante du cinéma commercial, celle du grand Raj Kapoor. En vérité, si Corporate a vaguement le goût et l’atmosphère des films de Bombay – les fameuses productions de Bollywood, qui s’exportent mondialement –, nous sommes loin ici de ses tournages pharaoniques. Pas de danses ni de chansons, et encore moins d’amours impossibles ne sont prévues dans Corporate : les sujets qu’affectionne Madhur Bhandarkar tournent plutôt autour de la corruption dans le monde des médias et des grandes entreprises. A priori, pas de quoi faire rêver les masses.

En fait, moins de 30 % des 800 films réalisés chaque année en Inde sortent vraiment des studios de Bombay, mais le pays leur doit une fière chandelle : avant la sortie du gargantuesque Devdas, en 2002, le cinéma indien n’avait droit à l’étranger qu’aux salles les plus obscures, souvent monopolisées par le seul nom qui ait traversé les frontières : Satyajit Ray, le génie bengali disparu en 1992. Depuis Devdas, donc, le cinéma indien s’exporte. Sous toutes ses formes. « L’Inde, c’est aussi grand que l’Europe : un cinéma indien unique a donc aussi peu de réalité qu’un cinéma européen ! » nous expliqueront à l’unisson les créateurs indiens. Seulement, pour faire face à la multiplicité des cinémas régionaux, réalisés dans une dizaine de langues, il fallait bien que l’un d’entre eux impose sa prédominance. Ce fut donc le cinéma hindi – souvent surnommé, à tort, « bollywoodien » –, dont les comédies musicales délurées satisfont des millions d’Indiens pauvres, désireux d’échapper au quotidien, trois heures durant, pour 50 roupies (moins de 1 euro) la séance.

Les « indépendants », responsables d’un petit 10 % de la production, se contentent, eux, d’un public réduit, classes aisées occidentalisées, jeunes étudiants privilégiés. Depuis 1955 et la sortie de Pather Panchali (premier volet de la Trilogie d’Apu, de Satyajit Ray), c’est pourtant bien le cinéma d’auteur qui reflète le mieux l’écartèlement de l’Inde indépendante entre richesse et pauvreté, traditions inébranlables et modernité galopante. A l’époque, l’impulsion donnée par Ray aux films « anti-studios » ne fut pas seulement à l’origine d’une nouvelle vague à l’indienne, elle a aussi ouvert les yeux du gouvernement sur la nécessité de soutenir un « autre cinéma », sensible et engagé, appuyé par une cinémathèque (le Film Institute of India, créé en 1961), et un système d’aide financière aux jeunes auteurs. Quarante ans plus tard, la donne a considérablement changé. L’explosion du nombre de foyers équipés en télévision câblée (il double chaque année) a permis à la classe moyenne de découvrir des programmes venus du monde entier, et le boom du DVD a rendu accessibles des films invisibles en salles – parmi lesquels nombre de productions indépendantes.

Pour se procurer les dernières nouveautés ou rééditions, le passage obligé, à Bombay comme à Calcutta, s’appelle Music World, sorte de petite Fnac indienne, où le splendide Pakeezah, chef-d’œuvre des années 70, côtoie les films d’Almodóvar et les classiques hollywoodiens. Cette nouvelle cinéphilie des classes moyennes indiennes transforme le paysage du cinéma indépendant. D’autant que les films d’auteur, réalisés à moindre coût grâce aux technologies numériques, sont de plus en plus nombreux. De fait, les frontières entre « cinéma artistique » et « cinéma commercial » sont devenues plus perméables. Pour financer des œuvres plus difficiles, certains indépendants sont prêts à engager leur énergie dans un film commercial, sans craindre d’y perdre leur âme. Dans son bureau de Film City à Delhi, le producteur Ramesh Sharma nous explique ainsi que « certains sujets sont mieux traités par Bollywood ». Ce qui ne l’empêche pas de jurer, cinq minutes plus tard, son éternelle fidélité à un cinéma « engagé et social ». A l’inverse, séduites par le prestige de réalisateurs indépendants et en quête de crédibilité, les plus grandes stars acceptent parfois des cachets moindres dans des films d’auteur, donc à petit budget. Pour Chokher Bali, réalisé par le cinéaste bengali Rituparno Ghosh, la sculpturale Aishwarya Rai n’hésite pas à incarner une jeune veuve « libérée », chantre des relations sexuelles hors mariage.

Influencée par le contenu des films d’auteur, même la puissante industrie de Bollywood s’interroge aujourd’hui sur la nécessité de s’adapter aux mœurs d’un public de plus en plus occidentalisé. Avec son film Black, une tragédie en hindi mais sans numéros musicaux, Sanjay Leela Bhansali s’est clairement inscrit dans cette mouvance rénovatrice. Selon Nadine Tarbouriech,
organisatrice d’une récente rétrospective Bollywood à Beaubourg, le risque pris par le plus important cinéaste commercial pourrait avoir des répercussions inattendues : « Contre toute attente, Black a très bien marché, et les distributeurs se sont dit que les films sans chansons, d’une durée raisonnable, pouvaient eux aussi se vendre. »

Autre évolution, l’apparition des multiplexes. Ils poussent comme des champignons dans les banlieues modernes de Delhi ou de Bombay, et ils ont provoqué un regain d’optimisme chez les indépendants : avec des salles plus petites que les cinémas traditionnels (200 places contre 1 000) et des tarifs plus élevés (entre 1,50 et 3 euros), les producteurs pouvaient enfin espérer « rentabiliser » rapidement des films plus modestes. Mais la réalité déçoit. En novembre 2005, à l’affiche de ce multiplexe de Delhi, La Légende de Zorro côtoie le dernier succès hindi, Salaam Namaste. En fait, 95 % des films non commerciaux réalisés chaque année en Inde continuent à ne jamais être projetés dans leur pays.

Alors les indépendants multiplient les initiatives. Au point d’être accusés de complaisance, quand, pour conforter une certaine vision misérabiliste de l’Inde, leurs films se réfugient dans les clichés les plus éculés… « Les Indiens écoutent les cinéphiles européens, explique le journaliste Mayank Shekhar, à propos de cette paradoxale soumission du cinéma indien aux attentes occidentales. Un film indépendant aura plus de poids en Inde s’il a plu à l’étranger, en particulier s’il y est récompensé par des prix dans les festivals. »

Malgré leur optimisme de façade, les indépendants n’ont aucune illusion : la majorité des 15 000 producteurs de l’Inde – un record mondial ! – restent frileux lorsqu’il s’agit de cinéma d’auteur, considérant, non sans raison, qu’il est peu susceptible de remplir leurs caisses. Alors, pour remédier au manque de financement – les aides prévues par le gouvernement se sont évaporées au début des années 90 et les chaînes de télévision ne souhaitent pas s’en mêler –, tous les moyens sont bons : se tourner vers l’étranger, devenir son propre producteur… Ou, plus original, « vendre des actions de son film avant qu’il ne soit réalisé », comme l’a fait la jeune cinéaste Ruchi Narain pour son thriller Kal : yesterday and tomorrow. Mais c’est Madhur Bhandarkar, réalisateur de deux films couronnés d’une reconnaissance critique et commerciale, Chandni Bar et Page 3, qui semble détenir la clé du succès. Sur le tournage de Corporate, il confie, sûr de son coup : « J’essaie de créer un mélange entre les recettes de Bollywood et l’indépendance qui m’est chère. Sans stars, donc, mais avec des histoires susceptibles de plaire à un large public » •

A VOIR

Thema “Inde” sur Arte, vendredi 29 à 22h15, suivie d’une nuit du court métrage indien.

source : telerama


On a fondé de grands espoirs sur le succès du cinéma “made in Bollywood” à la Réunion. Si l’intérêt porté aux films indiens est important, la frénésie qui l’accompagnait semble, en revanche, s’être calmée. La faute sans doute à un commerce en perdition, car frappé de plein fouet par le fléau du piratage.


Cela ne se passe pas du tout comme dans un bon vieux Bollywood. A la fin, la morale n’est même pas sauve. Le pitch ? Le piratage détruit le marché local. C’est Hervé Domenge qui le dit. Lui qui, il n’y a pas si longtemps, était l’importateur quasi-exclusif des films du genre à la Réunion. Il a fini par tirer un trait sur cette activité. “On a tué le commerce du Bollywood, c’est terminé”, dit-il, amer. Pour comprendre ce qu’il s’est passé, il faut remonter un peu dans le temps. La percée du phénomène dans l’île intervient au début de l’année 2004. Portées par les diffusions radio, les ventes de CD grimpent en flèche. Comme ces musiques sont souvent des bandes originales de films, de plus en plus de Réunionnais se passionnent pour le cinéma indien. En revanche, un problème d’approvisionnement freine l’essor des DVD. C’est là qu’intervient notre homme. Hervé Domenge, directeur de la société TPM (Tout pour la musique), profite de l’aubaine pour se lancer dans le commerce du Bollywood. Il signe des contrats d’exclusivité avec tous les grands studios de Bombay. Si celui-ci se frotte les mains, ce ne sera que de courte durée. Très vite, il se trouve confronté à un problème énorme : le piratage.

UN TSUNAMI DE COPIES

En effet, l’Inde dispose de lois de protection très faibles en matière de droits d’auteur et il n’y a aucun instrument du côté de l’État pour combattre le piratage des films. Conséquence, les DVD piratés sont souvent sur le marché en même temps que la sortie du film en salle... en Inde. Les pirates ont flairé le bon coup. Les copies illicites, vendues à prix cassés, inondent le monde, sans oublié le marché local.“Les DVD et les CD sont contrefaits en Inde, moyennant une baisse de qualité, puis sont expédiés à la Réunion via Maurice”, explique Hervé Domenge. Sa société décide alors d’attaquer en justice des revendeurs locaux. Mais“malgré cela, rien n’a bougé”, dixit le plaignant. Asphyxié par le marché parallèle, il dit adieu au commerce du Bollywood en octobre 2005. Aujourd’hui, il déclare disposer d’un stock important de DVD originaux “d’une valeur équivalente à 50 000 euros”, qui dorment dans un coin, en attendant éventuellement d’être revendus.“Que voulez-vous que j’en fasse, ici personne n’en veut, on préfère les copies, elles sont moins chères.” Si les plaintes de Hervé Domenge n’ont pour le moment rien donné du côté des tribunaux, elles semblent en revanche avoir eu plus d’effet chez les commerçants. Il est devenu plus difficile de se procurer un Bollywood. Sauf à prendre le risque d’en acheter sous le manteau, là ou l’offre prolifère... C’est le cas dans les fêtes commerciales, les vendeurs les proposent en toute impunité au nez et à la barbe des autorités, à des prix défiants toute concurrence. En revanche, dans les magasins ou les grandes surfaces, les choses ont quelque peu changé...

LA DEMANDE S’EST CALMÉE

Après enquête, il apparaît même par certains aspects que le commerce cinématographique bat sérieusement de l’aile. Dans les grandes surfaces, tout ce qui dit “Bollywood” a quasiment disparu des rayons alors que les DVD et CD fleurissaient jadis dans les rayons. Faut-il y voir un signe ? A Mégatop Saint-Denis, un problème de fournisseur bloque l’arrivée des bandes originales ainsi que des DVD. Un quinzaine de titres seulement chez Virgin, de vieux films, ou uniquement des standards passés par le circuit européen, pour les plus récents. Car il faut savoir que la majorité des oeuvres indiennes ne transitent pas par le marché français et ne disposent donc pas d’un doublage ou de sous-titres dans la langue de Molière. Difficile alors de les faire entrer à la Réunion : d’une part, la majorité du public n’y comprendrait rien et en plus, le commerce des DVD est soumis à des réglementations strictes. Mais, on pourrait voir dans la disparition des Bollywood des étagères une autre explication : “la demande était forte, il y a un an et demi, puis a eu tendance à se calmer”, explique quand même une vendeuse. Si cela continue, on peut craindre que le phénomène se passe de mode et le Bollywood de retomber alors dans la confidentialité. Comme au temps où cette forme de cinéma était l’affaire d’initiés. Des personnes originaires du sous-continent asiatique pour la grande majorité.

Thomas Lauret



BUSINESS IS BUSINESS...

Le business du Bollywood ne s’est pas encore éteint à la Réunion. Si les films et CD se font plus rares, les choses sont différentes en ce qui concerne les vêtements, les accessoires et autres produits dérivés. Avec la folie Bollywood, de nouvelles enseignes de vêtements ont ouvert leur portes un peu partout dans l’île. Tuniques et Punjabi se portent beaucoup plus lors des grandes occasions. D’autres n’ont pas tardé à surfer sur la vague en combinant deux effets de mode : on peut aujourd’hui télécharger des sonnerie et logos Bollywood pour téléphones portables. Comme quoi, le profit n’est pas perdu pour tout le monde...

source ; clicaano


Le film WATER de Deepa Mehta est nominé aux Oscars mais pas en tant que film indien mais plutôt l'entrée officielle du Canada aux oscars dans la catégorie film étranger. Puisque le producteur du film est canadien, c'est devenu l'entrée du Canada.

« Je suis très heureuse bien que j'aurais aimé que ca soit l'Inde qui fut représenté. Le tournage s'est fait en Inde de même que tout le casting est indiens mais puisqu'il a été produit par un Canadien, il appartient donc au Canada. Mais je remercie Dieu de cette opportunité et j'espère que le film remportera l'Oscar» nous dit Seema. WATER de Deepa Mehta comprends John Abraham, Lisa Ray et Seema Biswas dans des rôles principaux.


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Devinez qui est ce ????? Garcon ou fille ?????Bold

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