Sept nouvelles "merveilles du monde" ont été proclamées samedi soir à Lisbonne, au terme d'un concours contesté
Il s'agit de la grande muraille de Chine, de la statue du Christ du Corcovado à Rio, du mausolée du Taj Mahal en Inde, de la cité nabatéenne de Petra en Jordanie, du Colisée de Rome, des ruines du Machu Picchu au Pérou et de la cité maya de Chichen-Itza au Mexique.
Elles ont été choisies par quelque 100 millions de personnes par internet.
Les pyramides de Gizeh, seule merveille antique à avoir traversé les siècles, ont été déclarées hors concours car déjà "merveille du monde d'honneur".
L'Acropole d'Athènes, la Tour Eiffel et les statues de l'île de Pâques, qui figuraient parmi les grands favoris, ont été recalées.
Les internautes pouvaient choisir depuis janvier leurs sites préférés parmi 21 monuments sélectionnés dans le cadre d'un concours lancé par le cinéaste suisse Bernard Weber après la destruction en 2001, par les talibans, des bouddhas géants de Bamiyan, en Afghanistan. Une partie des recettes de la cérémonie doit financer leur reconstruction.
L'objectif était d'actualiser la liste des Sept Merveilles de l'Antiquité, désignées vers 200 avant JC, et qui ont presque complètement disparu.
Cette liste comprenait le temple d'Artémis à Ephèse, les jardins suspendus de Babylone, le mausolée de Halicarnasse, le colosse de Rhodes, le phare de Pharos à Alexandrie, la statue de Zeus à Olympie et la grande pyramide d'Egypte. Seule cette dernière existe toujours aujourd'hui.
L'Unesco, qui répertorie le patrimoine mondial, avait refusé de soutenir l'initiative, estimant que les "nouvelles merveilles" n'avaient pas à être élues par un vote populaire. Après la proclamation, elle a estimé que "cette campagne répondait à d'autres critères et à d'autres objectifs que ceux de l'Unesco dans le domaine du patrimoine".
L'opération a aussi soulevé des critiques en Egypte, où le chef des antiquités, Zahi Hawass, a estimé que "les pyramides de Gizeh restent la seule merveille du monde".
La cérémonie de proclamation avait lieu symboliquement le 07/07/07, sous forme de superproduction télévisée retransmise dans plus de 170 pays. Elle était présentée par l'acteur britannique Ben Kingsley et l'actrice US Hillary Swank au stade de la Luz à Lisbonne, en présence d'une kyrielle de stars et de personnalités, comme l'astronaute Neil Armstrong, l'actrice et chanteuse Jennifer Lopez, le footballeur portugais Cristiano Ronaldo et le Premier ministre José Socrates, mais également l'actrice indienne Bipasha Basu.
La fête aux quatre coins du monde
Les pays qui abritent les sites sélectionnés se sont réjouis à l'annonce des résultats.
A Rio de Janeiro, l'annonce du choix du Christ correspondait à l'étape locale du Live Earth. Sur la plage de Copacabana où des centaines de milliers de personnes assistaient au concert, la foule a longuement ovationné la consécration de la statue qui surplombe la ville.
En Jordanie, des milliers de personnes ont célébré l'événement à Amman et à Petra, où se trouve la célèbre cité nabatéenne.
Au Pérou, des centaines d'habitants de Cuzco, l'ancienne capitale inca située dans le sud-est du pays, se sont réjouies de la désignation de la citadelle du Machu Picchu, agitant des drapeaux péruviens et criant leur joie.
Au Mexique 6000 personnes se sont rassemblées sur le site de Chichen Itza, dans l'est du pays, pour fêter l'événement avec des danses et des chants mayas.
A Agra, ville proche du Taj Mahal, les touristes étaient accueillis dimanche avec des bonbons, et un grand feu d'artifice a été tiré.
En Chine, l'événement a été accueilli dans l'indifférence.
Je croyais que le Taj mahal faisait deja partie des merveilles du monde comme la Tour Eiffel ?
VIDEO DE LA CEREMONIE
PHOTO DE LA CEREMONIE AVEC BIPASHA BASU
Même avant que la production n'ait commencé, il y a énormément de buzz autour du film d' Hollywood "When Kiran met Karen".
L'histoire d'amour lesbienne a été pour la première fois Perizaad Zorabian pour jouer le rôle de Kiran, une actrice bien connue de Bollywood, à New York qui confronte sa propre sexualité. Elle joue au coté d'une actrice americaine qui aura le role de Karen.
Puis on a appris que Perizaad a quitté le film parce qu'elle ne s'est pas sentie confortable avec le rôle. Ensuite est venu l'annonce que l'actrice Indo-americaine Purva Bedi et Lisa Ray étaient dans le projet.
Maintenant la derniere nouvelle concernant le film WKMK est qu'Abhishek Bachchan et Akshaye Khanna sont prévus pour jouer des rôles importants dans ce film. Le producteur-directeur Manan Singh Katohora du film WKMK indique « Il est trop tôt pour en parler, mais mon agent à Mumbai fait quelques merveilles en termes de casting. Attentons et voyons ». Une fois contacté, le porte-parole d'Akshaye Khanna, Rohini Iyer nous informe. « Akshaye recoit de nombreux script et celui ci peut être l'un d'entre eux. Mais à l'heure actuelle, il n' a signé aucun projet à Hollywood. » Aucune information concernant Abhishek Bachchan.
Un acheteur et revendeur de Southall qui vendait des DVD piraté de films de Bollywood a été arreté pour recelle en possesion des copies illégales, dans la ville, cette semaine.
Une recherche commune par les dirigeants du Ealing Council Trading Standards et de la police a mené à un lot de films piratés et de CDs de musique de Bollywood d'une valeur de 15.000 £.
Environ 3.000 dvds et cds, inclus les copies illégales de JHOOM BARABAR JHOOM, des copies du film MÉTRO et CHEENI KUM ont été également découvert pendant la recherche, le samedi 30 juin dans un sous-sol d'un centre commercial à Southall.
Sivaji fait fureur : ce film en langue tamoule réussit à remplir des salles même à New Delhi où l’on parle le hindi. Si l’étiquette Bollywood colle au cinéma indien, de nombreux succès locaux ne sortent pas des studios de Mumbai[Ex-Bombay]Le public indien délaisserait-il les grosses productions aux beaux héros gominés pour un cinéma qui lui ressemble plus…
On le voit d’abord comme un gros moustachu, portant costume noir et lunettes de soleil ringardes. Mais il est "le boss". Sivaji, The boss, le dernier film du réalisateur Shankar avec l’acteur Rajinikanth vient détrôner toutes les productions bollywoodiennes depuis sa sortie le 15 juin dernier. C’est un énorme succès au Royaume-Uni, où le film se classe 9ème dès la première semaine de sortie au côté des plus grosses productions américaines. Du jamais vu. Le Times of India compare même le "roi Amitabh Bachchan" à "l’empereur Rajinikanth". L’acteur, 57 ans, est la star du cinéma tamoul, produit dans les studios de Chennai, Tamil Nadu .
Sivaji est loin d’être un chef d’œuvre au sens de la critique, l’intrigue est minimale : un homme revient des Etats-Unis et se lance dans l’action sociale à Chennai. Mais la présence de Rajinikanth suffit pour remplir les salles. Et pour son 170ème film, l’acteur ne fait pas les choses à moitié : Sivaji est aujourd’hui le film le plus cher du cinéma indien (12 millions d’euros).
Depuis la sortie de Sivaji, la question de la place du cinéma "régional" par opposition au cinéma de Mumbai est posée dans toute la presse nationale. Le succès du film vient rappeler que la majorité des fictions indiennes ne sort pas des studios de Mumbai, dits "Bollywood". En 2003 par exemple, l’industrie cinématographique indienne a produit 877 films dont la majorité dans les langues du sud : 155 en télougou, la langue de l’État d’Andhra Pradesh ; 151 en tamoul, la langue du Tamil Nadu ; 109 en kannada, qui se parle dans le Karnataka, 64 en malayalam, la langue officielle du Kerala. Les films en hindi, parlé principalement au nord, ne sont qu’au nombre de 246. Mais ils font souvent les plus gros succès commerciaux, popularisant l’expression "Bollywood" (contraction de Bombay et Hollywood).
Rajinikanth, star incontestée du cinéma tamoul, au sud de l'Inde
Le cinéma indien est bel et bien né à Mumbai (qui s’appelait alors Bombay) en 1896 avec la première projection des frères Lumières. Mais il s’est rapidement diversifié, utilisant au moins 30 langues vernaculaires -dont l’anglais - afin de se diffuser parmi les 1,2 milliards de fans des 25 Etats et 7 territoires de l’Inde. Les films circulent dans les grandes villes du pays, mais ne sont pas forcément traduits.
Sivaji est ainsi projeté en langue tamoule à New Delhi où l’on parle le hindi… Et les salles sont combles. La plupart des analyses avance que les films "régionaux" comme Sivaji apportent encore "un cinéma populaire et facile tandis que les films de Bollywood sont aujourd’hui destinés au public de NRI (Indiens vivant à l’étranger) plutôt qu’aux masses indiennes", dixit le réalisateur Eswar Reddy dans le Times of India du 2 juillet. Les grosses productions bollywoodiennes sont en effet diffusées dans plus de 160 pays, où elles visent un public de NRI représentant près de 20 millions de personnes qui peuvent enrichir les sociétés de production indiennes avec des devises étrangères.
source : politicus.blog.20minutes.fr
Un vent de Bollywood en Belgique grâce au Durga Filmfestival
Le théâtre anversois De Roma et le festival du film Open Doek (Turnhout) organiseront la première édition du festival du film Druga, qui se déroulera du 31 août au 2 septembre, à Anvers. Il s'agit d'un festival du film indien.
Durant trois jours, les visiteurs pourront apprécier les films et la culture indienne: des classiques du cinéma bengalais aux spectacles de Bollywood, en passant par des documentaires indiens. Le festival se tiendra en deux endroits: au théâtre De Roma situé au coeur d'Anvers et dans le complexe Metropolis (du groupe Kinepolis), toujours dans la métropole anversoise.
Le samedi après-midi, au Roma, le visiteur pourra même assister à un spectacle de danses et de costumes, avec possibilité de s'initier à la danse. (belga)
Plus de renseignements sur le programme du festival sur le site http://www.durgafilmfestival.be/durga.htm
PHOTO MYSTERE BOLLYWOOD N.10
Devinez qui sont ces deux personnes de Bollywood ?
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