Shriya Saran Kajal Agarwal Anushka Shetty Tamanna Ileana Aishwarya Rai Katrina Kaif

Tuesday, October 7, 2008

DVD Bollywood à Noel

Après avoir enchanté le Grand Rex avec la projection de Veer Zaara et la venue de nombreuses stars indiennes, Bodega Films, proposera pour les fêtes de fin d'année dès le 17 Novembre 2006, 5 nouveaux DVD Bollywood dont un coffret collector 3 DVD Veer Zaara en version intégralement remasterisée. Nous vous en proposons la liste complète en avant première…

Kabhi Kabhie (Love is Life)
Un Bollywood culte signé Yash Chopra

kabhi_kabhie_dvd.jpgAmit est un garçon sensible, poète et amoureux de Pooja. Les deux amants rêvent d’une vie parfaite jusqu’à ce que le destin en décide autrement. Pooja doit se plier aux vœux de ses parents et épouser Vijay. S’éloignant peu à peu du monde dans lequel il espérait s’épanouir, Amit délaisse son premier amour et décide d’épouser malgré tout Anjali. Pourtant, il est des destins qui doivent, un jour ou l’autre, se recroiser…

Un an après Deewaar, Amitabh Bachchan retrouve le cinéaste Yash Chopra dans Kabhi Kabhie. Aux côtés de Raakhee, l’acteur de Sholay trouve ici l’un des plus beaux rôles de sa carrière. Un film culte, auquel le réalisateur Karan Johar rendra hommage 26 ans plus tard dans La Famille Indienne (Kabhi Khushi Kabhie Gham), et récompensé par 4 Filmfare Awards, dont celui de la Meilleure Chanson Originale pour Sahir Ludhianvi.

Amitabh Bachchan, Shashi Kapoor, Rishi Kapoor, Waheera Rehman Raakhee, Neetu Singh, Simi Garewal, Parikshat Sahni
Scénario Sagar Sarhadi d’après une histoire originale de Pamela Chopra
Directeur de la photographie Kay Gee
Montage Naresh Malhotra & Pran Mehra
Musique Khayyam
Producteur et Réalisateur Yash Chopra

DVD 9 - Nouveau master restauré
Version Originale
Sous-Titres Français
Format 1.37 respecté - 4/3 - Couleurs
Durée du Film : 165 min.
Prix Public conseillé : 19.99€

Bonus
Interview de Yash Chopra par Karan Johar (21 min.)
Kabhi Kabhie : un poème
Chansons
Bande annonce du film
Bande annonce de la collection

Dil To Pagal Hai
Avec Shahrukh Khan et Madhuri Dixit
Le couple mythique de Devdas

dil_to_pagal_hai_dvd.jpgRahul, célèbre metteur en scène de spectacles musicaux, décide d’élaborer un nouveau show autour du personnage de Maya, l’icône féminine de ses rêves. Mais Rahul ne croit pas en l’amour et préfère provoquer sa première danseuse et amie Nisha,qui, depuis longtemps, est secrètement amoureuse de lui. Lorsqu’une terrible blessure empêche celle-ci de continuer les répétitions, Rahul doit faire un choix et décide de proposer le rôle à la délicate Pooja, qui refuse dans un premier temps…

Passage inexorable du cinéma indien à l’ère de la modernité, Dil To Pagal Hai explore les pistes de la comédie musicale hollywoodienne contemporaine. Costumes et sentiments s’affichent à l’heure occidentale autour de chansons entraînantes. Yash Chopra, entouré de Shah Rukh Khan et de Madhuri Dixit, donne un souffle nouveau à Bollywood, où paillettes et chorégraphies semblent tout droit sorties des plus grands shows de Broadway !


Shahrukh Khan, Madhuri Dixit, Karisma Kapoor, Akshay Kumar
Scénario Yash Chopra, Pamela Chopra, Aditya Chopra, Tanuja Chandra
Directeur de la photographie Manmohan Singh
Montage V.V. Karnik
Musique Uttam Singh
Producteur et Réalisateur Yash Chopra

DVD 9 - Nouveau master restauré
Version Originale Dolby Digital 5.1
Sous-Titres Français
Format 2.35 respecté - 16/9 compatible 4/3 - Couleurs
Durée du Film : 179 min.
Prix Public conseillé : 19.99€

Bonus
Making of (24 min.)
Chansons
Bandes annonces
Bande annonce de la collection

Saathiya
Bollywood revisite le mythe de Roméo et Juliette

saathiya_dvd.jpgAditya et Suhani s’aiment. Pourtant, tout oppose les deux amants. Lui est issu d’une famille aisée, elle, beaucoup plus modeste. Lorsqu’ils décident d’annoncer leur amour, leurs familles s’y opposent et le jeune couple est obligé de se marier secrètement. Contrainte de dévoiler la vérité à ses parents, Suhani attire les foudres sur elle. Rejetés, Aditya et Suhani semblent pourtant résolus à vivre pleinement leur amour...

Saathiya explore avec sincérité et complexité les rapports amoureux d’une jeunesse insouciante face au refus qui émane de l’autorité parentale. Véritable mélodrame social et culturel, Saathiya est une oeuvre emplie d’émotions, portée avec grâce par la magnifique Rani Mukerji (La Famille Indienne) et la superbe musique de A.R. Rahman (Swades).

Rani Mukerji, Vivek Oberoi, Tanuja Satish Shah
Scénario Mani Ratnam
Directeur de la photographie Anil Mehta
Montage A. Sreekar Prasad
Musique A.R. Rahman
Producteurs Yash Chopra - Mani Ratman - Bobby Bedi
Réalisateur Shaad Ali

DVD 9 - Nouveau master restauré
Version Originale Dolby Digital 5.1 / DTS 5.1
Sous-Titres Français
Format 2.35 respecté - 16/9 compatible 4/3 - Couleurs
Durée du Film : 132 min.
Prix Public conseillé : 19.99€

Bonus
Clip de la chanson Chori Pe Chori
Chansons
Bandes annonces
Bande annonce de la collection

Veer Zaara
Le film phare de Bollywood

veer_zaara_dvd1.jpgPilote et secouriste au sein de l’Indian Air Force, Veer risque sa vie pour sauver celle des autres. Jusqu’au jour où il porte secours à une jeune fille, Zaara, belle, rebelle, et légèrement inconsciente. Elle a quitté son Pakistan natal afin de venir en Inde accomplir les dernières volontés de sa nourrice. Veer tend la main à Zaara, sans savoir que son destin va en être changé à jamais…

Sept ans après Dil To Pagal Hai, Yash Chopra revient à la réalisation avec Veer-Zaara. Sur fond de conflits politiques entre l’Inde et le Pakistan, le cinéaste livre une ode tragique et mélodramatique où l’enfermement ne peut être vaincu que par les souvenirs d’un amour éternel. Chants, danses et couleurs sont ici le pendant d’une injustice emprunte de mélancolie, et Yash Chopra d’offrir un spectacle inoubliable au casting prestigieux. Shah Rukh Khan, Rani Mukerji et Preity Zinta donnent à Bollywood toute sa splendeur !

Shahrukh Khan, Preity Zinta, Rani Mukerji, Kiron Kher & Amitabh Bachchan
Scénario Aditya Chopra
Directeur de la photographie Anil Mehta
Montage Ritesh Soni
Musique The Late Madan Mohan
recréée par Sanjeev Kholi
Producteurs Aditya Chopra et Yash Chopra
Réalisateur Yash Chopra

2 DVD 9 - Nouveau master restauré
Version Originale Dolby Digital 5.1 / DTS 5.1 plein débit
Sous-Titres Français
Format 2.35 respecté
16/9 compatible 4/3 - Couleurs
Durée du Film : 185 min.
Prix Public conseillé : 19.99€ (2 CD)
Prix Public conseillé : 29.99€ (3 CD Collector)

Bonus (Version 2 CD)
Making of des chansons (26 min.)
Interview de Yash Chopra par Karan Johar (20 min.)
Chanson inédite Yeh Hum Aa Gaye Kahaan
4 Scènes coupées
Chansons
Bandes annonces
Bande annonce de la collection

Bonus (Version Collector 3 CD)
DVD 1
Interview de Yash Chopra par Karan Johar (20 mn)
4 Scènes coupées
Chansons
Bandes annonces
Bande annonce de la collection
DVD 2
Making of des chansons (26 mn)
Chanson inédite Yeh Hum Aa Gaye Kahaan
Chansons
DVD 3
Avant-première du film à Bombay (30 mn)
Conférence de presse au Grand Rex de Paris
4 Karaokés en 5.1
Clip de la chanson Aisa Des Hai Mera
Bonus caché
+ GIFTS

source : indeparis


Les deux acteurs tamouls Surya etJyothika sont mariés c'est officiel et voici les photos :

On leur souhaite tous le bonheur aux deux jeunes mariés !!!!

Woaaa c'est magnifique c'est marrant de les voir tous réunies, toutes les grandes stars des films Tamoul, c'est la premiere fois que je vois les femmes des acteurs. Par contre Asin je la trouve vraiment habillé simple pour un mariage. Jyotika, elle a une tete bizarre trop de makeup peut etre ???

Voila une semaine que le film Black De sanjay Leela Bhansali est sorti dans nos salles francaises.

Michelle McNally est une fillette anglo-indienne de huit ans qui vit dans un monde de ténèbres. Avide de communiquer, son esprit vit dans une frustration qui débouche sur la violence, la destruction et les crises de fureur. Debraj Sahai est un professeur alcoolique consumé par sa fonction d'enseignant. L'établissement où il exerce réclame son départ. Le proviseur, confiant dans ses capacités, l'envoie dans la maison des McNally pour s'occuper de la fillette.
Depuis 2002 et son somptueux Devdas, Sanjay Leela Bhansali n’avait plus donné de signe de vie artistique. Celui qui a réussi avec son dernier film à rendre populaire le « Bollywood Movie » en France revient avec une œuvre radicalement différente, Black. Loin de ce qui (habituellement) fait la marque des films indiens, à savoir ces drames colorés, accompagnés de chansons et chorégraphies enlevées, Sanjay Leela Bhansali nous livre sa version de l’histoire d’Helen Keller (qui avait déjà été traité dans Miracle en Alabama d’Arthur Penn en 1962), à savoir celle de cette jeune fille sourde-muette qui dut apprendre à communiquer avec le monde extérieur avec son corps. Black adopte l’approche tout à fait novatrice, et réussie, de nous faire vivre, de manière sensitive et graphique, l'évolution de la jeune Michelle McNally (la bombe indienne Rani Mukherjee), qui passera de l'état de révolte quasi-permanent à celle d'être apaisé et ouvert sur un monde grâce à l'apprentissage et l'amour apporté par son professeur, Debraj Sahai (l'immense acteur Amitabh Bachchan).

La première grande surprise de Black vient de son casting : en premier lieu Rani Mukherjee, une des reines de Bollywood avec Aishwarya Rai et Preity Zinta (avec qui elle a partagé l'affiche de Veer Zaara) méconnaissable en Michelle adulte. Elle est bouleversante, oscillant entre brutalité et douceur pour nous faire ressentir la frustration et le calvaire imposés par son handicap, faisant ressortir par son jeu physique toutes les nuances de la relation qui l'unit à son professeur (où la brutalité n'est pas absente), adoptant une démarche et une attitude qui n'ont rien de glamour, bien loin de ses compositions habituelles. Dans le rôle de l'éducateur , Amitabh Bachchan (pilier du cinéma indien avec plus de 160 films au compteur !) est tout aussi époustouflant en professeur atypique et vindicatif, profondément habité par son personnage de gourou qui n'hésitera pas à couper son élève de sa famille pour mieux l'aider à communiquer. Celui qui est souvent considéré comme le patriarche des films indiens réussit à mettre sa superbe de côté pour prendre les habits mités d'un professeur alcoolique et intransigeant, parfois goguenard mais toujours combatif, et qui poussera Michelle jusque dans ces derniers retranchements.


Peut-être plus que le talent de ces comédiens, Black doit son incontestable réussite à la direction de Sanjay Leela Bhansali, donnant des rôles à contre-emploi à son duo-vedette, mais sachant aussi exploiter avec sens son casting de seconds rôles, en premier lieu les parents de Michelle, ou encore lorsque Michelle enfant est interprétée par la débutante Ayesha Kapoor, une véritable révélation. Comme Devdas, Black se singularise par une recherche esthétique et visuelle somptueuse, où se déclinent toutes les nuances du noir (d'où le titre !), magnifiées par la photographie de Ravi K. Chandran (qui vient de signer celle de Fanaa, le dernier gros succès du cinéma indien de 2006). On passe ainsi de l'environnement froid de la maison des McNally à l'ambiance bucolique et anglaise de l'université, avec la scène particulièrement émouvante de la découverte de la neige par Michelle, dans laquelle le spectateur réussit à percevoir la découverte de cette sensation nouvelle pour la sourde-muette. Larmes et frissons garantis !


Mais plus que dans sa virtuosité technique, le talent de Sanjay Leela Bhansali réside dans sa capacité à éviter les éccueils du mélodrame lacrimal avec aisance pendant une bonne partie de son récit, l'apitoiement n'étant pas de rigueur pour décrire les épreuves rencontrées par les deux protagonistes. Le réalisateur se paie le luxe d'offrir, dans le dernier quart de son film, un retournement de situation (une constante du cinéma "Bollywood"), à la fois osé et hautement symbolique qui, loin d'ampouler son récit, réussira à faire fondre et à emporter l'adhésion du spectateur, même le plus blasé. Avec Black, Sanjay Leela Bhansali démontre qu'il est un conteur hors pair au savoir-faire indéniable, il est d'ailleurs entré définitivement dans la case des grands réalisateurs indiens, Black ayant obtenu 11 récompenses aux Filmfare Awards 2006 dont celui du meilleur film.


Succès commercial et artistique abouti, Black est sûrement un des évènement s de la rentrée à ne pas rater, pour tous les amateurs qui aiment le cinéma indien, et pour ceux qui n'en sont pas des fans à part entière, leur a priori sera bousculé par la vision si particulière de son auteur, Sanjay Leela Bhansali.
Je trouve ca desolant de la part des médias francais, avec deux sorties de films indiens au ciné, aucune promotion a été faite, pourtant Black a l'air d'un chef d'oeuvre. Je n'ai vu durant la semaine aucune chaines de Tv parlés de ces films, ni de bande annonces diffusés. Que faut il faire !!!!

Water est le troisième volet de la trilogie réalisée par Deepa Mehta avec Fire (1996) et Earth (1998).

Dans les années 30, alors que l'Inde se bat contre les Britanniques pour obtenir son indépendance, la condition des veuves restent précaires et elles sont forcées de travailler et pour certaines de se prostituer. On découvre cet univers pesant par le biais de dl'incursion d'une jeune veuve. Chuyia encore enfant est laissée par son père dans un ashram (maison de veuves). Elle se lie d'amitié avec Kalyani, l'unique veuve non dépourvue de sa chevelure (et pour cause, elle se prostitue pour faire vivre les femmes du ashram). Kalyani (Lisa Ray) va briser son statut de veuve en tombant amoureuse d'un brâhman, Narayan (John Abraham).

Préparez-vous à embarquer pour un voyage qui étanchera votre soif. Water ne vous laissera en aucun cas perméable à sa douche. Vous sortirez imbibé par la teneur de cet élixir. Après Fire et Earth, le dernier cru de la trilogie de Deepa Mehta nous immerge dans une atmosphère moite et étouffante. Au-delà, d’une calligraphie régulière des saris blancs, on s’immisce dans l’intimité de femmes aux crânes rasées. Les imageries sont fortes et saisissantes. Deepa Mehta capture l’instant, une faille entre un malaise oppressant teinté de sublime. Avec subtilité on s’infiltre au sein des souffrances et des joies de ces femmes.

S’abreuvant d’un sujet houleux : le veuvage en Inde, Deepa Mehta place son intrigue à une période cruciale, 1938, époque marquée par l’ère Gandhi. Dans les méandres du film, s’écoule ainsi les préceptes et idéaux du Mahatma par le biais de son avatar Narayan (John Abraham). Mais une autre voix inonde le film, celle de la réalisatrice, qui, abasourdie 10 ans plutôt par la détresse d’une veuve, s’est plongée dans ce projet périlleux, où elle dut faire face aux menaces de mort et aux attaques. Echo des veuves, Deepa Mehta nous emmène dans leur ashram et nous projette dans cet enfer inacceptable où une échappatoire surgit avec l’arrivée de l’intrépide Chuyia. 8 ans et déjà veuve, elle ne souhaite guère vivre une existence dans le renoncement. Par le jeu, les liens se tissent et les figures fantomatiques des veuves retrouvent vie à son contact.

Water est au même titre que le Taj Mahal, « une larme sur la joue du temps » (dixit R. Tagore). C’est avec virtuosité et grâce que Deepa Mehta, assemble les nuances de coloris et compose chaque plan en un tableau. Hymne à la vie, description corrosive d’une condition devenue identité, elle nous expose le chemin de croix infligé depuis des millénaires aux femmes. Les veuves hindoues sont écartées de la vie sociale et poussées à l’ostracisme. Elles subissent une ségrégation silencieuse, visible par leur étoffe blanche. Leur sari blanc a pour fonction de séparer, d’avertir le passant qui croise une veuve de son statut. Ce suaire revêt le sens de la mort, de la malédiction et de la faute grave. La veuve représente dès lors la perte du Sowbhagya, la bonne fortune et est assimilée au mauvais œil.

Deepa Mehta, révèle ici les conditions de vie des veuves dictées par les préceptes de textes religieux. Fardeau, tare d’une nation, elles sont devenues le symbole des travers d’un pays. Avec Chuyia, ce sont les croyances ancestrales qui sont dénoncées. La famille l’abandonne par tradition. Elle est synonyme de malédiction et mourir sur les rives du Gange lui assurera son salut. Kalyani dévoile les dessous de la prostitution et suggère ceux du « système Sevadasi » (toujours actuel dans certains bhajanashrams) dans lequel un service rendu à un riche ou à un homme de pouvoir est vu comme un acte de piété. Enfin, Narayan révèle une politique corrompue qui ferme les yeux sur le sort des veuves à des fins économiques, n’ayant pas ainsi à leur verser de pension.

Water émerge de ses eaux troubles et profondes un mélange de stars étonnantes issues de plusieurs générations avec notamment de grandes actrices comme Seema Biswas (Bandit Queen) et un monument du cinéma hindi : Waheeda Rehman (Pyaasa pour ne citer que lui). Water exulte par l’interprétation exceptionnelle et poignante de ses comédiens.

D’autre part, la musique aérienne et enivrante de A.R. Rahman, rythme au clapotis des larmes de pluie versées, les vies des veuves, leur souvenir tenace, leur plaisir profane, apportant ainsi un souffle de fraîcheur. De même, l’eau enveloppe le film. Fil conducteur où tout converge, sacrée, divertissante et vitale, l’eau accompagne les hindous dans la mort. L’eau est ici l’air, la dernière source de vie palpable pour les veuves. Water reste un témoignage indispensable de la condition inhumaine de vie et du traitement des veuves hindoues dû à des préceptes caducs et une politique encline à abandonner ses veuves. Water est un film à voir sans modération.

Water au cinéma dans toute la france à partir du 6 septembre.

Les séances :

Paris
- MK2 Beaubourg (75003))
- Gaumont Opéra 1er (75002)
- La Bastille (75011)
- Lincoln (75008)
- Bienvenue Montparnasse (75015)
- St-André des Arts (75006)

Banlieue
- Conflans Cinéville

Province
- Marseille Variétés
- Lyon CNP Bellecour
- Aix En Provence Le Renoir
- Strasbourg Star
- Toulouse ABC
- Nantes Katorza
- Montpellier Diagonal Capitole
- Nancy Caméo
- Nice Rialto
- Besançon Plazza Victor Hugo
- Biarritz Le Royal
- Caen Lux
- Dijon Desvosges
- Grenoble Nef
- La Rochelle CGR Olympia
- Orléans Le Select
- Arles Méjan
- Lille Métropole
- Reims Opéra

Site Officiel : http://www.films-sans-frontieres.fr/water/

Rien qu'en voyant les premieres images de la bande annonce, je trouve ce film magnifique, le theme du film semble tres interessant, ca me fait penser à Chokher Bali. Par contre je me demande pourquoi avoir choisi comme actrice Lisa Ray j'aurais mis une actrice indienne, on dirait la que c'est une occidentale qui devient veuve et qui doit accepter son sort. J'ai trop hate de voir ce film au ciné mais il ne passe pas sur Bordeaux grrrrrrrrrrrr !!!!!


Voici une vielle publicité pour Coca Cola certes, mais qui me fait toujours autant rire. Ce qui me fait rire c'est la facon dont Amir Khan s'exprime "India very hot very hot" . Je comprends pas ce qu'ils disent en hindi quelqu'un pourrait traduire ???? Chapeau avant tout à Amir khan ;) pour cette délirante video.

Vous aivez aimé, Vous pouvez aussi la télécharger en cliquant sur le lien suivant :

http://rapidshare.de/files/32405828/Aamir-CocaCola.mpg.html


Lors de son passage aux derniers MTV Video Music Awards, Shakira a offert au public une prestation aux influences indiennes (pas très compliqué pour une adepte du déhanchement...), "coachée" par une chorégraphe réputée, Farah Khan. Laquelle ne compte arrêter là sa collaboration avec la chanteuse : "Elle est définitivement faite pour le style Bollywood. Elle souhaite que je l'incorpore à son prochain clip et qu'en plus je la dirige moi-même", a-t-elle déclaré au Times of India. Encore mieux, Shakira pourrait tout aussi bien jouer dans un vrai film made in Bollywood, Om Shanti Om, qui sera produit par cette même Farah Khan. La star colombienne pourrait tourner ses scènes en mars prochain, en marge d'un concert qu'elle doit donner en Inde. (Jordane Guignon)

No comments:

Post a Comment