Best Actor
Shah Rukh Khan - Chak De India
Best Actress
Kareena Kapoor - Jab We Met
Best Film
Chak De India
Best Director
Shimit Amin - Chak De India
Performance in a Supporting Role (Male)
Irrfan Khan - Life In A... Metro
Performance in a Supporting Role (Female)
Konkona Sen Sharma - Life In A... Metro
Performance in a Comic Role
Govinda - Partner
Performance in a Negative Role
Viveik Oberoi - Shootout At Lokhandwala
Music Director
A.R. Rahman - Barso Re Barso Re (Guru)
Best Story
Jaideep Sahni - Chak De India
Lyrics
Javed Akhtar - Main Agar Kahoon (Om Shanti Om)
Playback Singer (Male)
Shaan - Jabse Tere Naina (Saawariya)
Playback Singer (Female)
Shreya Ghoshal - Barso Re (Guru)
Achievement in Indian Cinema
Mumtaz
Outstanding Contribution to Indian Cinema
Shyam Benegal
Outstanding Contribution by an Indian in International Cinema
A. R. Rahman
STYLE IDEA AWARDS
Abhishek Bachchan
Katrina Kaif and Neil Nitin Mukesh were also awarded special awards
Technical Awards
Best Cinematography
Sudeep Chatterjee (Chak De India)
Best Editing
Amitabh Shukla (Chak De India)
Best Sound Recording
Manas Choudhary & Ali Merchant (Chak De India)
Best Sound Re-recording
Anuj Mathur (Chak De India)
Best Screenplay
Jaideep Sahni (Chak De India) & Anurag Basu (Life…in a Metro)
Best Art Direction
Sabu Cyril (Om Shanti Om)
Best Special Effects
Red Chillies Entertainment Pvt. Ltd. (Om Shanti Om)
Best Costume Designing
Manish Malhotra, Karan Johar & Sanjiv Mulchandani (Om Shanti Om)
Best Makeup
Bharat-Dorris, Ravi Indulkar & Namrata Soni (Om Shanti Om)
http://www.paperblog.fr
BAGHBAN (Le Gardien)
Acteurs : Amitabh Bachchan, Hema Malini, Salman Khan, Mahima Chaudhry, Paresh Rawal, Lillete Dubey, Aman Verma, Suman Ranganathan, Sameer Soni
Réalisateur : Ravi Chopra
Année : 2003
Résumé :
Raj Malhotra a travaillé toute sa vie dans la même banque, gravissant un à un les échelons hiérarchiques pour, au crépuscule de sa vie, faire partie de la direction. C’est un vieil homme, et maintenant qu’il est arrivé à l’âge de la retraite, il n’a qu’un seul désir : passer la totalité de son temps en compagnie de Pooja, son épouse aimante et dévouée. Heureux ensemble, ils se tiendront la main en marchant sans regrets vers leur coucher de soleil.
Bienveillants, les dieux ne leur ont donné que des garçons : Aman, Samir, Sahil et Nasir, quatre fils qu’ils ont élevés avec le plus grand soin tout comme le jardinier s’occupe de l’arbrisseau en espérant un jour pouvoir s’abriter sous l’arbre qu’il deviendra. Mais, voilà que lorsque le père prend sa retraite, aucun des quatre ne veut prendre les parents à sa charge. Ils finissent par décider que durant six mois le père ira habiter chez l’aîné tandis que le cadet recueillera la mère et que les deux plus jeunes prendront la relève les six mois suivants. Voilà les parents séparés dans leur grand âge…
Ma Critique :
Moi j'ai bien aimé le film, l'histoire est plus centré sur la rupture de Hema et Bachchan et non de la maltraitance des enfants dont je trouve dommage. Les personnages des enfants reste assez caricaturial. C'est un tres bon theme abordé dans ce film mais bon on peut trouver ca injuste la facon dont les enfants traitent leur parent mais à l'heure actuelle c'est compréhensible c'est difficile de garder ses parents chez soi, la vie devient de plus en plus dur. Heuresement que Salman Khan est la, il joue le garcon parfais tout l'opposé (je devrais peut etre adopter un enfant ds le besoin ca me servira un jour ?? lol ). Certains passage sont émouvant. C'est aussi grace à ses enfants que Bachchan a pu ecrire un livre et devenir millionaire, et allé vivre dans sa maison. Les acteurs sont moyens (pourquoi il y a pas d 'acteurs connus chez les enfants à part Salman qui se revele etre le sauveur) Mahima, elle a une tete bizarre. Rimi Sen me faisait penser à Amrita Rao. En gros, de belle chansons une histoire familiale à voir en famille mais bon je le regarderai pas une deuxieme fois.
J'ai trouver une critique du film assez interessante :
Baghban apparaît comme un film très conservateur. Le scénario est monté de telle sorte que les « méchants » soient ceux qui vivent à l’occidentale, ayant adoptés tous les travers de ce mode de vie éloigné des ancestrales traditions familiales, et que les « gentils » soient ceux qui malgré le progrès et l’évolution des mœurs dans le monde ont conservés un système de croyances et de respect envers les plus âgés. On retrouve comme souvent le rapport à l’ancienne métropole en le personnage du bon fils qui à vécu à Londres et qui revient en Inde plus cultivé et à la fois plus impliqué dans sa culture originelle que jamais. Le film se termine pas un sermon un peu long et finalement très révélateur du message que le film est sensé passer.
Du point de vue technique, les acteurs principaux sont très bon et les chansons, comme à l’accoutumées, pleines de couleurs et d’entrain, bien que relativement peu nombreuses (en comparaison avec Devdas par exemple). On notera des passages qui font sourire, comme le dialogue musical entre les deux personnages phares qui se déroule au téléphone dans une cabine publique…
En bref, malgré certaines longueurs et malgré le fait d’avoir parfois l’impression de se faire sermonner, le film se tient et n’est nullement ennuyeux malgré sa durée, toute indienne d’un point de vue cinématographique.
Ma note : 7/10
Photos :
Dans KHNH, elle faisait plus jeune ????
Anthony Kaun Hai ? (Qui est Anthony ?)
Acteurs : Sanjay Dutt, Arshad Warsi, Minissha Lamba, Anousha Dandekar
Réalisateur : Raj Kaushal
Musique : Himesh Reshammiya
Année : 2006
Films :
Ce qui fait que ce produit de Bollywood n'est pas pire que ceux du même genre fabriqués par l'usine de Los Angeles pour le grand public américain et international.
Faussaire de génie mal inspiré recherché par la police de Bangkok, Champ se choisit l'identité d'un certain Anthony Gonçalves – celui du titre, qu'on ne voit jamais – dont la tête est mise à prix par un mafieux qui envoie Master Madan (Sanjay Dutt), un tueur à gages, lui régler son compte. Le moins que l'on puisse dire est que le premier moment de la rencontre entre le tueur et son “contrat” ne manque pas de punch. Sanjay Dutt nous joue un tueur terriblement efficace, dont on redouterait même le regard et capable d'envoyer ad patres n'importe qui, pour un simple manquement de politesse ; tout ça sans même cligner des yeux.
Sa prestation, ici, est dans le style d'un Samuel L. Jackson (ou d'un Lino Ventura) et il y a des moments dans ce film qui ne sont pas sans évoquer Tarantino. Plus Sanjay Dutt en tueur à gages devient effrayant, plus Arshad Wasi plaidant pour sa vie et racontant son histoire devient sympathique. Le film entier est construit autour de ce face-à-face dans le huis clos d'une chambre d'hôtel avec de nombreux retours en arrière. Car, on s'en doute, il s'agit d'introduire les passages obligés que sont les fameux numéros musicaux avec danses et les images d'ailleurs qui sont censées faire rêver.
Anthony kaun hai ? parvient à faire d'une pierre deux coups en situant son action en Thaïlande, nous montrant des plages qui sont dans un bien meilleur état que les nôtres et en faisant appel à des Thaïs pour les chorégraphies. Il s'agit aussi d'introduire une histoire tributaire de diamants volés et surtout de donner au public ce qu'il considère comme un élément incontournable de ce genre de cinéma : une histoire d'amour, sans laquelle il n'existerait pas de personnages féminins. Anthony kaun hai ? en compte deux, interprétés par Anusha Dandekar et Minissha Lamba. Les deux actrices s'en sortent bien, ont beaucoup de charme et rendent leurs personnages sinon crédibles, au moins intéressants, tout comme celui du policier excentrique joué par Gulshan Grover.
Évidemment, tout cela ne se fait pas sans quelques lourdeurs, quelques invraisemblances et l'impression, ça et là, que la pellicule aurait pu avoir été utilisée à meilleur escient. On s'étonnera donc de constater que malgré tout ce foisonnement et ces détours, Anthony kaun hai ? est un film qui, jusqu'aux derniers instants, parvient à ne pas perdre de vue sa trame principale. C'est aussi un film réalisé sans images tape-à-l'œil et interprété assez sobrement par ses acteurs principaux, avec quelques notes d'humour noir qui lui donnent du caractère. Seul bémol : Anthony kaun hai ? n'est en fait que la copie d'une comédie policière américaine, Who Is Cletis Tout (2001. Chris Ver Wiel, avec Christian Slater, Tim Allen, Portia de Rossi)
Dans le monde des films en Technicolor de Bollywood, les femmes et les hommes chantent en play-back des paroles à l'eau de rose, dansent dans des décors luxuriants et endurent quelques moments difficiles avant de trouver l'amour éternel.
Le réalisateur indien Karan Johar est un as de ces films à romances happy end qui entraînent l'hystérie en Inde lorsqu'ils sortent en salle.
Sa dernière oeuvre, Kabhi Alvida Naa Kehna (Ne jamais dire au revoir), sortie le week-end dernier, est déjà en passe de devenir le film le plus vu cette année, à en croire les records d'audience (6eme au Box Office anglais).
Cette fois pourtant, le réalisateur a choisi un autre canevas et nombre de spectateurs ont semblé peu ravis au sortir de la projection : on voit bien ses personnages marcher au soleil couchant... mais seulement après avoir mis fin à leurs mariages malheureux.
Le thème de la séparation ou du divorce, peu accepté dans la très conservatrice société indienne, a choqué la classe moyenne urbaine et le débat enragé suscité par le film a débordé les salles de cinéma pour atteindre les studios des télévisions et les blogues sur Internet.
«C'est un film mauvais et corrompu», écrit ainsi Sanjeev sur le site Internet de la télévision privée CNN-IBN.
«Faire marcher son mariage dépend de vous. Si votre partenaire est compréhensif et souhaite y arriver, vous pouvez faire des compromis et changer», écrit Deepti Kanojia dans le tabloïd Mumbai-Mirror, édité à Bombay, capitale de Bollywood.
«J'espère seulement que les esprits faibles ne vont pas prendre le film au sérieux et laisser tomber leur mariage juste parce qu'ils ne se "sentent pas bien"», ajoute ce lecteur.
Le film à gros budget offre tous les ingrédients de la marque Johar : des vêtements chic et branchés, des stars de Bollywood jouant le rôle d'immigrants indiens à New York, des danses extravagantes et des décors luxueux.
C'est l'histoire que beaucoup n'ont pas trouvée de bon goût.
Le personnage principal, interprété par la superstar Shah Rukh Khan, est un homme amer qui a fait un mariage sans amour avec une rédactrice en chef glamour.
Rani Mukherjee, une des actrices fétiches du réalisateur, est mariée à un homme compréhensif mais leur union manque d'étincelles, et c'est en rencontrant Shah Rukh Khan qu'elle redécouvre l'amour.
L'un et l'autre luttent pour sauver leur mariage pendant trois ans avant de tomber dans les bras l'un de l'autre et de quitter leurs conjoints.
Ce n'est pas la première fois qu'un film indien parle d'infidélité. Les films d'art et d'essai ont souvent montré des personnages adultères et, plus tard, des films commerciaux ont exploré le sujet.
«Mais dans les autres films commerciaux, la femme trompait puis revenait à son mari. Là, le film banalise le mariage. Les femmes ne peuvent tout simplement pas comprendre pourquoi l'héroïne a quitté un mari accommodant qui lui a donné tout ce qu'elle a souhaité», explique Indu Mirani, rédactrice en chef du site Internet spécialisé dans le cinéma www.thirtymm.com.
D'autres, comme la célèbre écrivain Shobhaa De, qui a écrit le best-seller Époux : la vérité sur le mariage, se disent pour leur part choqués que les Indiens ne puissent pas encaisser un tel scénario.
«Ceux qui ne vivent pas des mariages aussi parfaits qu'ils le voudraient sont en fait ceux qui ont réagi avec hostilité. Chacun a vu un peu son mariage dans le film. Nous sommes une société du déni, qui s'accroche à ses valeurs», estime Mme De.
Il n'y a pas de statistiques officielles démontrant que davantage de mariages urbains finissent mal. Mais dans ce pays où les affaires de famille sont traditionnellement réglées à la maison, les avocats spécialisés dans les mariages se sont multipliés ces dernières années.
«Les mariages se rompent partout. Cela va arriver ici aussi et cela va frapper l'Inde plus qu'ailleurs car c'est une société profondément traditionnelle», prédit Mme De.
Source : ledevoir
Plus d'infos sur le film :
La date de Sortie du film Chokher Bali en france a été repoussé et sortie hier dans les salles obscurs.
Retrouvez les séances du film avec Aishwarya Rai et Raima sen en cliquant sur le lien suivant.
http://www.allocine.fr/seance/filmcp_gen_cprojection=100036&codepostal=33800.html
Les critiques du film ne sont pas tres bonnes !
| durée | 2h |
| origine | Film indien (2005) |
| réalisateur | Rituparno Ghosh |
| genre | Drame |
| langue | Hindi |
| acteurs | Aishwarya Rai, Prasenjit Chatterjee, Raima Sen, Lily Chakravarty, Tota Roy Chowdhury, Sonali Chakrabarti, Sudeshna Roy, Mousumi Saha, Suchita Ray Chaudhury, Zarin Chowdhury, Abhishek Bose |
| téléchargé la semaine dernière | 27 fois |
| date de sortie | 23 Août 2006 |
| en savoir plus |
Le tournage du film Don avec Shah Rukh Khan s’est déroulé dans le plus grand secret dans la capitale, il y a quelques semaines. Vous ne verrez donc pas des photos du tournage de votre star préférée, hélas, et nous respectons les consignes. En revanche, voici une petite interview du réalisateur, Farhan Akhtar (à qui l’on doit Dil Chahta Hai et Lakshya. Jeune et talentueux comme ses parents (sa mère, Honey Irani scénariste très demandé à Bollywood, elle a réalisé Armaan, et son père, Javed Akhtar , était scénariste, plus connu sous le nom du duo Salim-Javed, il est aussi un parolier d’exception) Farhan Akhtar est devenu en quelques années une valeur sûre du box-office indien.
« Nous avons tenu à tourner ici à Paris parce que pour nous, c’est LA capitale européenne, par excellence ; cette ville a quelque chose de magique et nous sommes tombés sous le charme. Des images de Paris, c’est un concentré de beauté, de culture, mêlant le passé et la modernité. (Images que nous verrons en début de film).
Ce n’est pas facile de se lancer dans un remake de Don, avec Amitabh Bachchan de surcroît, qui a marqué des générations de cinéphiles. Je voulais faire ce film même avant de tourner Dil Chahta Hai mais, sans prétention, j’espère que cette version du film apportera une nouvelle vision. Ces dernières années nous n’avons pas eu de grand thriller dans le cinéma hindi, alors on voulait faire un thriller situé en 2006, inspiré évidemment d’un film que nous adorons. Je mentirais si je disais que je ne suis pas influencé par Mission impossible ou par James Bond car on retrouve l’utilisation des gadgets de notre époque à la différence que nous restons dans le cinéma hindi.
En ce qui concerne le choix de Shah Rukh Khan pour le double rôle de Don et Vijay, ainsi que de Priyanka pour le personnage de Roma (incarné par la sexy Zeenat Aman dans l’original), je dirais qu’ils ont la maturité requise pour incarner leurs personnages. Shah Rukh possède toute une gamme dans son répertoire aujourd’hui grâce à l’expérience de l’âge. Attendez un peu, vous verrez tout cela lorsque le film sortira en fin d’année. »
Sorti en 1978, le Don avec Bachchan avait connu un immense succès et il avait été comparé à Psycho de Hitchcock. Chandra Barot, le réalisateur de Don a dit être flatté de cette reprise car, selon lui, « seuls les grands films poussent les jeunes réalisateurs à faire un remake, et après tout, Farhan Akhtar est comme mon fils, son père Javed Akhtar avait coécrit Don avec Salim ». Le rôle du « méchant », joué par l’inoubliable acteur Pran a été confié à Arjun Rampal. Comment pourrait-on parler du film sans évoquer Khaike Paan Banaras Wala, devenu un tube grâce à Bachchan, et qui devra être repris par SRK !
source : ICE
Yaurai til quelqu'un qui aurait des photos ? Vous n'allez me dire que personne a vu le tournage ???
Contre toute attente ce sera l'actrice Vidya Balan qui jouera Chandramuki dans le remake hindi du film Tamil et non Rani Mukherjee.
Le superhit Chandramuki, le film tamil de Rajinikant sera repris par Priyadarshan avec des acteurs hindi. Vidya Balan jouera le role de Jyothika de la version tamoul, c'est à dire Chandramuki. Shiney Ajuha jouera le mari de Vidya et Akshay Kumar jouera le psychiatre qui lui vient en aide pour la déposseder. Le role d'Akshay a été d'abord proposer à Amitabh Bachchan. Qui selon moi aurait été le mieux, il correspond plus au personnage. Dans la version Tamil ce n'est autre que Rajinikant qui a le role.
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