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Monday, October 6, 2008

Sushmita will opposite Richard Gere

Sushmita Sen va commencé le tournage de son deuxième film Hollywood et son co partenaire n'est autre que Richard Gere. Ce sera son second film anglais de Sushmita Sen après Karma, Confessions et Holi dont la sortie est prévu bientot. Le film intitulé "The Expat" sera dirigé par Sutapa Ghosh et produit par Miramax Films. Sushmita Sen qui jouera le rôle d'un Expat dans le film doit partir pour l'Argentine bientôt avec Gere, toutefois elle n'a pas encore récupérer de sa douleur cervicale.

Apparemment, Sushmita récupère d'une douleur cervicale qu'elle souffre depuis de derniers jours et est toujours sur antibiotiques. On lui a conseillé du repos ce qui fait pousser les tournages de ses films.

De retour en Inde, Sush est occupée avec la promotion de ses prochains films de Zindaggi Rocks. Le film tient également comme premier rôle Ahuja Ahuja, Moushmi Chatterjee, Kim Sharma, Seema Biswas et dirigé par Tanuja Chandra.

C'est normal que Sush joue au coté de Richard Gere contrairement à Aish car Sushmita Sen accepte d'embrasser ses partenaires.!!! donc elle aura plus d'offres de films à Hollywood. C'est pour cela que j'aime bien Aish, elle oublie pas ses principes meme si c'est pour jouer dans le plus grand film d'Hollywood.


BIOGRAPHIE :

Shiney Ajuha est né le 15 Mai en Inde. Il s'est marié avec Anu. Shiney a été tout d'abord top model et a ensuite suivi une carriere d'acteur.

Ahuja a debuté avec Hazaaron Khwaishein Aisi en 2003, mais il n'a pas gagné la reconnaissance du public jusqu'à Karam, au coté de John Abraham. Son rôle le plus populaire est jusqu'ici "Gangster de Mahesh Bhatt (2006) avec Emraan Hashmi, pour lequel il a gagné la récompense du meilleur espoir masculin au Filmfare Awards. Son prochain film sera Zindaggi Rocks avec la sublime Sushmita Sen.

FILMOGRAPHIE :

Chandramuki (2007)
Metro Metro (2006) (announced)
Woh Lamhe (2006) (post-production) .... Aditya Garewal
Zindagi Rocks (2006) (post-production)
Fanaa (2006) .... Suraj Ahuja
Gangster (2006) .... Daya
Kal: Yesterday and Tomorrow (2005) .... Tarun Haksar
Karam (2005) .... ACP Wagh Pratap Singh
Sins (2005) .... Father William
Hazaaron Khwaishein Aisi (2003)

REMARQUES :

J'étais loin de me douter que Shiney Ahuja était un acteur et encore moins un indien. Il doit pas etre un vrai indien au debut je pensais que c'était un americain qui était invité aux évènements. Il commence a étre un acteur tres apprecié.

PHOTOS :


Qui est cet enfant qui soufffle ces bougies d'anniversaire ?????


Biographie :

Tanushree Duta est née en 1985 à Jamshedpur et a fait des études de communication.

Tanushree Dutta est une toute jeune et nouvelle actrice qui fait sensation à Bollywood, elle est deja reconnu comme espoir de cette année 2005. Elle debute tres fort en jouant dans une super production Chocolate avec Anil Kapoor et Sunil Shetty. Elle est en ce moment meme à l 'affiche de Aashiq Banaya Aapne avec Sonu Sood Et Emraan Hashmi qui est un carton. Notons que Tanushree Dutta a tout d'abord été elu Miss India 2004, d'ou sa beauté. Sa beauté serait un mélange d'Aishwarya Rai, Priyanka Chopra, Celina Jaitley, Lara Dutta et Riya Sen, des grands noms de la beauté indienne. Que dire de plus que c'est une tres belle femme et qui a de l avenir à Bolly. Ses projets; Rokda avec Emraan Hashmi, Ashmit Patel, Riya Sen, Ayesha Takia et Soha Ali Khan, et une apparition dans 36 China Town.

Fimographie :

Bhagam Bhaag (filming)
Good Boy, Bad Boy (filming)
Veerabhadra (2006) Telugu movie
36 China Town (2006) Special Appearance
Aashiq Banaya Aapne (2005)
Chocolate: Deep Dark Secrets (2005)

Site Officel : http://www.tanushreedutta.com/

Photos :

Tanushree in her Tadashi cocktail dress as she is cut into the top 15


Il se pourrait que ca soit le plus beau duo, et que nous puissions attendre que ca se produise enfin ! C'est officiel, Shakira dansera sur la chorégraphie de Farah Khan ! Le duo collabore pour une performance que Shakira exécutera pour les récompenses des MTV video awards 2006 à la fin du mois!

" Je ne sais pas du tout comment ca va se passer, mais je suis tres excité ! " Farah Khan l'a confirmé dans une entrevue récente de NDTV . Ce serait une chance incroyable pour Farah Khan et Bollywood en général ! Cependant Farah Khan n'est pas nouvelleà la renommée internationale,elle a été était également nommée pour un Emmy pour un spectacle à Broadway.

Selon Farah Khan ce fut Shakira en personne qui a voulu que ce soit elle qui chorégraphie le tube "Hips don't lie" dans un style Bollywood pour la cérémonie. Ca sera peut etre, d'apres certaines sources dans un style de "Chaiya Chaiya"


Lisa Ray (au centre), dans le film "Bollywood Hollywood" de Deepa Mehta, sorti en 2002. | FOTOBLITZ/STILLS/GAMMA

L'Inde vénère ses stars cinématographiques à un point stupéfiant. La présence de comédiens comme Amitabh Bachchan, de Shah Rukh Khan - le Tom Cruise indien - ou de la belle Aishwarya Rai suffit à susciter des émeutes. Mimant les offrandes faites aux dieux et aux déesses, certains férus ont même été vus, au lever du soleil, en train de laver l'effigie de leurs idoles avec du lait, qu'ils badigeonnent sur des affiches de cinéma.

En Inde, le cinéma fait partie de la vie : le pays produit près d'un millier de films par an (record mondial) et compte chaque jour 30 millions de spectateurs en salles. Invention visant à populariser dans le reste du monde le cinéma indien, le terme Bollywood - créé en combinant Bombay (l'actuel Mumbay, berceau de l'industrie cinématographique indienne) au symbole mondial du septième art, Hollywood - est apparu voici une quinzaine d'années. Soit bien après la naissance du cinéma en Inde : le premier film muet, Raja Harishchandra de Dhundiraj G. Phalke, fut projeté à Mumbay le 3 mai 1913.

Au sens strict du terme, Bollywood désigne le cinéma tourné en hindi à Mumbay, ce qui exclut les productions réalisées dans l'une des autres langues du sous-continent, notamment à Madras, Calcutta, Hyderabad, Bangalore ou Delhi. Le concept de Bollywood se réduit trop souvent à un cinéma populaire destiné aux masses indiennes. Synonyme, pour les partisans indiens du cinéma d'auteur, d'un art vulgaire ou, pour le reste du monde, d'un univers esthétique kitsch. Car ces films sont aux antipodes des oeuvres de Satyajit Ray ou de Ritwik Ghatak. Il n'est pas question, sur la planète Bollywood, de satire sociale ou de représentation tragique du monde. La narration, codifiée, s'inscrit dans la grande lignée de la dramaturgie classique indienne. Le sage Bharata, auteur du Natya Shastra, traité réputé sur le théâtre, professait déjà, il y a plus de 2 000 ans, l'importance de liens étroits entre musique, chant, danse, théâtre et peinture. Pour lui, aucune pièce ne devait se terminer sur la défaite ou la mort du héros. L'émerveillement devait primer et aujourd'hui encore, le cinéma, en Inde, se lit comme un poème.

Dans les films populaires hindis, les illusions sont souvent positives et la vie pleine d'espoir. L'eau de rose, le rêve et l'esthétique kitsch - qui suit une gamme chromatique empruntée aux divinités indiennes - soufflent sur l'écran. Le jeu des acteurs est théâtral, voire mélodramatique. Les héros sont riches et beaux - bijoux et saris aux couleurs acidulées pour ces dames, oeil ténébreux pour ces messieurs. Les méchants ont le regard mauvais. Tout gravite autour d'un réservoir d'histoires mythologiques ou relevant de la culture populaire. Les émotions esthétiques viennent d'une représentation symbolique du monde. Les personnages sont héroïques ou pathétiques, un éternel bouffon détend l'atmosphère. Le scénario, marqué par une structure narrative non linéaire, comprend toujours un mariage au début ou à la fin du film qui, rappelons-le, dure généralement trois heures. Récent signe d'occidentalisation, une scène de déclaration d'amour est aussi souvent plantée dans de verts pâturages suisses.

Le scénario accorde une large place à la famille, aux histoires d'amour impossible et aux différences de castes. Le tout avec une bonne dose de morale, de passion, de joie et de suspense. "C'est toute l'identité et l'aspiration d'un peuple que symbolisent les films bollywoodiens : tout est fait pour que chaque Indien, quelles que soient sa religion - hindouiste, bouddhiste, musulman, jaïn, sikh... -, sa langue ou sa caste, puisse se projeter dans le film", note Jérôme Neutres, de l'ambassade de France à Delhi. Puisqu'il est d'usage d'aller en famille au cinéma, les images sont prudes et les baisers bannis : un soupir suivi d'un frémissement des narines laisse entendre que la passion a été consommée. C'est peu dire qu'il est osé de voir, dans Kya Kehna, l'héroïne choisir d'épouser un homme qui n'est pas le père biologique de son enfant, de compter dix-sept baisers dans Khwaish, ou encore de contempler des "gogo dancers" dans Oops !

L'âme du film bollywoodien, c'est la musique : elle compte autant que l'histoire. Les scènes chantées et dansées sont inspirées des chorégraphies traditionnelles. Ce cinéma fait appel au travail conjoint d'un parolier, d'un ou plusieurs chorégraphes, du compositeur, des musiciens, du scénariste et des acteurs, rappelle l'anthropologue et chercheur au CNRS Emmanuel Grimaud. Et les ventes de la bande originale de Lagaan, film à gros budget d'Ashutosh Gowariker, le troisième film indien nominé aux Oscars en 2002, ont suffi à rentabiliser le film.

S'il répond à une demande culturelle spécifique, ce cinéma s'exporte désormais dans le monde entier. La vague bollywoodienne a commencé par séduire la diaspora indienne de Londres et de New York. Puis le public s'est élargi : aujourd'hui, ces films sont diffusés en permanence dans près d'une centaine de pays du Proche-Orient, du Maghreb et d'Afrique noire ainsi qu'en Indonésie, via un réseau de salles et de chaînes de télévision. A Dubaï a été organisé, en juin, l'un des plus importants festivals du film indien.

En France, l'intérêt pour Bollywood s'est cristallisé, selon Vincent Paul Boncour, qui dirige Carlotta Films - principal distributeur de films et de DVD indiens - le jour où Lagaan est sorti. Ce qui a ensuite permis de faire redécouvrir d'autres grands classiques, comme Mother India de Mehboob Khan (1957) ou encore Sholey. Autres dates-clés : Devdas de Sanjay Leela Bhansali a été présenté au Festival de Cannes en 2002 et Aishwarya Rai a été, l'année suivante, la première actrice indienne invitée à faire partie du jury. Mais même si l'égérie du cinéma bollywoodien a joué pour Rituparno Ghosh dans Chokher Bali, la contribution des stars bollywoodiennes au cinéma d'auteurs reste exceptionnelle.

Machine bien huilée, Bollywood reproduit la politique d'expansion hollywoodienne. Avec un atout : sa part de marché du cinéma en Inde est plus forte que celle des films américains aux Etats-Unis. En Inde, 94 % des entrées en salles concernent des films nationaux et le public a montré une nette préférence pour Kuch Kuch Hota Hai sur Titanic. Le boom économique de l'Inde, tout comme l'influence à peine voilée de la mafia sur le septième art à Mumbay, profitent à toute la chaîne de production. Pour améliorer la rentabilité des films (seuls 10 % gagnent de l'argent), les studios de Mumbay misent sur le marché international. Certains réalisateurs tournent en anglais (Mr and Mrs Iyer, Leela, Black), rêvant d'émuler les succès internationaux de Mira Nair (Monsoon Wedding) ou de Gurinder Chadha (Bend It Like Beckham).

L'influence de Bollywood a essaimé au-delà du cinéma. A commencer par la musique : Pascal of Bollywood, un Français de pure souche, s'est lancé avec succès dans la chanson indienne. Nombre de DJ, souvent basés en Grande-Bretagne, font danser la jeunesse londonienne, viennoise et même japonaise sur la musique bollywoodienne. Et la vague indienne touche la mode, le design, l'art contemporain : en témoignent les collections de vêtements de Rohit Bal, Manish Arora ou Narendra Kumar en Grande-Bretagne. Tout comme l'inspiration très indienne des objets dessinés par Catherine Lévy et Sigolène Prébois pour Tsé-Tsé.

Dans l'art contemporain, les artistes indiens ne sont pas en reste : Baba Anand revisite les affiches du cinéma indien et Bharat Sikka expose à Paris, jusqu'au 26 août, à l'espace Vuitton, où Patrick Rimoux a montré des tableaux constitués de pellicules de films de Bollywood. Mais la filiation la plus évidente revient aux photographes Pierre et Gilles, qui mélangent délicieusement l'imagerie religieuse, la mythologie classique et le glamour.

source : Lemonde

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