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Saturday, October 4, 2008

Fanaa la bande annonce

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Fanaa signe le grand retour de l'actrice Kajol. Un film donc tres attendu sortie prevue pour le mois de Mai 2006. On y retrouve à ses cotés l'acteur Aamir Khan et Tabu. Kajol jouera le role d'une aveugle. A venir plus d'infos sur le film mais en attendant voici la bande annonce du film. Fanaa signifie '"detruit par l'amour'"

Bon toujours les meme roles, toujours les meme images style Veer Zaara ou KKHH. Rien de spectaculaire pour ce genre d'acteur. On voit tres bien que c'est du Yash Chopra. SRK à place de Amir Khan et Preity Zinta à la place de Kajol ca n'aurait rien changer.

cliquez sur le lien suivant ...

http://www1.yashrajfilms.com/fanaa/fanaa_teaser.htm


Apres les premieres images de la nouvelle publicité pour Coca Cola avec Aishwarya Rai, voici enfin la video.


Avant-première de VEER - ZAARA à Paris le 25 avril.


Comme vous le savez tous, VEER ZAARA sort en France le 26 avril 2006 et, à cette occasion, une prestigieuse « première » est prévue au GRAND REX, le soir même, à partir de 19 h. avec le réalisateur, SRK, Rani et Preity Zinta

Or, c’est désormais officiel, une avant-première de VEER ZAARA est prévue aussi à l’UGC CINE CITE LES HALLES, le mardi 25 avril 2006, en présence de RANI MUKHERJEE et PREITY ZINTA. Cette séance est en principe organisée dans la plus grande salle du Ciné Cité.

Donc si vous n’avez pas eu de place pour assister à la première du GRAND REX, il vous reste toujours une chance d’aller à l’avant-première, la veille, et de rencontrer les superbes stars féminines du film.

L’horaire de cette avant-première sera disponible sur le site UGC à partir du mercredi 19 avril 2006. Il vous sera possible de réserver votre place à partir du jeudi 20 avril.

Recapitulatifs

* 25 avril 2006 - avant premiere de VZ avec Rani et Preity à l'UGC cine cite les halles, Paris

* 26 avril 2006 - seances de dedicaces à 16h avec SRK à Virgin Megastores, Paris

* 26 avril 2006 - avant premiere de VZ à 19 h avec SRK, Rani, Preity au Grand Rex, Paris

Merci à Chandini et à Emma.

L'avant premiere de VZ a l'UGC le 25 avril serait annulé ( à verifier )


Auparavant c'était Aishwarya Rai et Mallika Sherawat qui ont crée la frénésie des médias lorsqu'elles ont été invités au prestigieux festival du film de Cannes. Cette année, c'est l'actrice Preity Zinta et le réalisateur Karan Johar qui ont été invités au festival de film. Ils représenteront le pays à un dîner spécial.

"C'est un honneur de représenter notre pays. Aishwarya Rai et Shah Rukh Khan ont également fait partie du festival du film, "dit Preity Zinta, excitée. "Une fois que j'aurais fini mon spectacle "the heat", je serai de retour en Inde. Je dois coordonner mes vetements avec mon designer Manish Malhotra. Je lui fais totalement confiance, il m'habillera dans ses meilleures conceptions, "ajoute Preity.

Le festival débutera à partir mai de 17 et continuera jusqu'au 28 mai. "J'attends avec intérêt le festival et je me rejouis à l'idée d' observer certains des films internationaux du festival. Je suis heureuse que je sois là avec Karan, "dit elle.

Je pari qu'elle va passer inapercu comme Mallika Sherawat, Moi j'aurais inviter Rani Mukerje et Aamir Khan.

J'ai trouvé ca sur internet un article sur Bollywood assez long certes mais récent. On debut c'est interessant ensuite ca parle de mafia .

Quand la mafia se met en scène

Coups de feu à Bollywood

Derrière le kitsch et les milliards du cinéma se profile le spectre de la pègre indienne. Enquête sur le racket, les enlèvements et les troubles relations entre le milieu et le star-system

De notre envoyé spécial Stéphane Arteta

Un gros moustachu, tout sourire, l'oeil malicieux et coiffé d'un turban, se trémousse frénétiquement au côté d'une actrice filiforme enveloppée dans un sari multicolore. L'homme agite fièrement sa bedaine de gauche à droite, les doigts pointés vers le ciel, et la fille se déhanche en cadence. Sporadi-quement, les danseurs, comme pris de spasmes, se cabrent et redressent le buste. C'est l'une des scènes du récent « Captain Audio ». Qui n'a pas vu un jour un extrait de ces comédies musicales de Bollywood où des filles canon ondulent avec des types grassouillets ? La fille aime celui qu'il ne faut pas, le père fait les gros yeux, la belle-mère pique une crise... Et tout le monde finit par danser. Dans le salon, en pleine rue ou sur les toits. Décors de carton-pâte, amours contrariées, sentiments surjoués, ce Bollywood-là, qui séduit chez nous les nostalgiques des catalogues Ikea des années 1970 et les amoureux du kitsch, existe encore, mais il n'est plus le reflet du cinéma indien. Au fil des années, les héros ont maigri, les scénarios se sont épaissis. La musique est moins omniprésente, les danses s'inspirent désormais du hip-hop, le caleçon Calvin Klein dépasse du jean du héros et sa fiancée a troqué le sari pour une jupe courte. Si les films sont toujours aussi longs (2 heures 30 en moyenne), la technique a fait des bonds. Les films du new Bollywood mixent le folklore indien et la culture MTV, à l'image de « Rang de Basanti », le gros succès du moment en Inde. On y parle hinglish : de longues phrases en hindi entrecoupées d'expressions anglaises : «relax baby», «please stop it!»... Déjà les succès de « Laagan », fresque historique nominée aux Oscars en 2002, puis de « Devdas », un « Roméo et Juliette » indien sélectionné l'année suivante à Cannes, ont permis aux Occidentaux de découvrir la modernité des films populaires indiens. Et leur rôle social : chaque histoire transgresse un interdit, dénonce l'intolérance ou la misère. Le tout en chansons. Mais le cinéma indien s'exporte peu et traîne encore derrière lui l'image d'une usine à mélos gentillets et fauchés. Tout faux. Bombay, où est située l'industrie du septième art (d'où son surnom de Bollywood), rappelle plutôt le Los Angeles des années 1950 : passionné, sulfureux, démesuré. Le cinéma indien : 3 milliards d'entrées, 1 000 films tournés chaque année dans 39 langages ou dialectes, trustant 95% du marché national ; plus d'une trentaine de cérémonies façon Oscars, des stars parfois entourées par 30 gardes du corps...


Adulées, certaines vedettes ont même des temples à leur nom, édifiés par leurs admirateurs : le comédien Amitabh Bachchan a le sien à Calcutta, l'actrice Khushboo, elle, est célébrée à Madras. Bachchan, baptisé « le roi des Indes », est l'idole de tout un peuple. L'autre superstar, c'est la sublime Aishwarya Rai, 32 ans, l'héroïne de « Devdas ». Courtisée par l'Amérique, elle a signé un contrat en or avec L'Oréal. La consécration ! Bollywood, la bataille la plus féroce est capillaire : longs, souples et lisses, les cheveux des comédiennes doivent tourner dans l'air comme dans les pubs pour shampoing. Tournage en bord de mer à Bombay. Un ventilo souffle dans la chevelure d'une actrice. Entre les prises de 15 secondes, une assistante lui couvre illico les épaules d'un pashmina tandis qu'une autre la recoiffe presto. Qui est-elle ? Aishwarya ? Non, ce serait l'émeute. Mallika, dont la poitrine partiellement dénudée en couverture d'un magazine féminin a déclenché la colère des ultranationalistes ? Non plus. «Elle n'est pas très connue, celle-là, dit un portier d'hôtel. On en voit sans cesse apparaître de nouvelles.» Le métier fait rêver : des milliers de jeunes affluent des campagnes dans l'espoir de décrocher un rôle. A l'arrivée : des boulots de standardiste, de serveur ou de danseuse de bar et un logement de fortune dans un des innombrables bidonvilles de Bombay.
A « Film City », un immense parc de 250 hectares, en plein centre de Bombay, que l'Etat loue depuis 1997 aux principaux studios, la machine Bollywood tourne à plein régime. Ici on peut louer un décor de jungle, une cascade, un lac, une façade de commissariat ou celle de l'aéroport international de Bombay. On y tourne à la chaîne des sitcoms, la version indienne de « Qui veut gagner des millions ? » et des films. « Film City », surveillé par des policiers, fonctionne 24 heures sur 24 et peut accueillir simultanément jusqu'à 34 tournages. Devant de grands entrepôts, des ouvriers scient, clouent, peignent des décors sous un soleil de plomb. Plus loin, il fait encore plus chaud sous les projecteurs d'un film d'action. Enchaîné, à genoux dans le sable, un jeune acteur en pantalon de cuir noir, chemise ouverte, croque discrètement une capsule de faux sang en faisant mine d'encaisser les coups de pieds d'un colosse. «Ah, ah, ah!», s'amuse le méchant. Mais les vrais vilains, ici, on en parle peu...
Et pourtant, comme à Hollywood du temps de Lucky Luciano et Frank Sinatra, la ville bruit de rumeurs sur les relations sulfureuses entre le crime organisé et le cinéma. Il y a ces producteurs, réalisateurs et comédiens qui reçoivent le coup de fil tant redouté des « Enfers », le nom donné à la pègre : il faut payer ! «Certains changent sans cesse de numéro de portable de peur de recevoir l'appel de la mafia», explique la journaliste Meenashki Shedde, du quotidien « DNA ». «Les gens fortunés sont l'objet de menaces, explique un riche hommes d'affaires du sud du pays, lui-même visé. Bollywood est plus vulnérable, parce que le cinéma est un business plus facile à infiltrer.»
Dans les soirées de Bollywood, la tendance, c'est bandana et sac Vuitton pour les hommes, tee-shirt à message et sacs incrustés de diamants pour les dames. Alors que le salaire mensuel moyen en Inde est inférieur à 2 000 roupies (40 euros), les stars claquent des milliers de roupies en quelques heures. Des proies idéales. Sur les pistes de danse, les princes du septième art côtoient les rois du business. Et quelques truands soupçonnés de fournir de la drogue aux acteurs. Pis, certaines mauvaises langues soupçonnent les actrices de devoir leurs carrières à leurs amants de la pègre, tel Chhota Rajan... ou même à des terroristes comme Dawood Ibrahim, un homme d'affaires indien résidant au Pakistan et accusé d'avoir financé des attentats en Inde. «Mais les connexions entre le milieu du cinéma et la mafia ont surtout lieu dans les hôtels de Dubaï, où sont organisés des événements mondains. C'est là que sont basés les principaux gangs», précise un journaliste indien.
Aujourd'hui, quantité de films traitent du banditisme. Et la mafia n'aime rien tant que de se mettre en scène : la plupart des pressions concernent les scénarios. Les réalisateurs ou les acteurs visés sont priés de rajouter ou de les modifier pour complaire à une organisation qui a mis des billes dans le projet. Il y a peu, le parrain Chotta Shakkeel, qui aurait investi plusieurs millions dans différents films, a ainsi tenté de forcer l'acteur Hrithik Roshan à tourner dans l'une de ses productions... en menaçant de liquider son père.
Le cinéma indien nous jouerait-il « Terreur sur Bollywood », une série B avec racket, menaces d'enlèvement et tueurs à gages ? «Ce phénomène est très exagéré, confie un producteur, les médias aiment entretenir une ambiance de polar autour du cinéma, ça ajoute du piment et ça fait vendre du papier.» Ces derniers temps, les menaces se feraient plus rares. La mafia se tournerait vers le cricket... «Oui, depuis que le cinéma a été reconnu comme une industrie par l'Etat à la fin des années 1990. Auparavant, les banques rechignaient à prêter de l'argent aux studios, laissant les risques à des investisseurs peu recommandables », explique Emmanuel Gri-maud, chercheur au CNRS et ancien assistant réalisateur à Bollywood (1).
Les extorsions sont moins nombreuses, mais elles n'ont pas disparu. En 2004, un gang localisé à Dubaï faisait chanter Bollywood pour récupérer un pourcentage sur les recettes des films à l'étranger ou celles des chansons à succès. Des réalisateurs renommés comme Aamir Khan (« Laagan ») ou Yash Chopra (« Dhoom ») figuraient sur la liste noire. Avant eux, Bharat Shah, le producteur de « Devdas », avait été racketté par le clan du très redouté Abu Salem. Arrêté à Lisbonne en 2002, ce dernier est soupçonné d'avoir participé aux attentats qui ont fait plus de 250 victimes à Bombay en 1993 et d'avoir commandité le meurtre du compositeur Gulshan Kumar en 1997. Bollywood n'a pas oublié non plus l'assassinat - attribué à Chotta Shakkeel - du producteur Mukesh Dugal en 1998, ni la tentative de kidnapping de l'actrice Manisha Koirala en 2002, un an après le meurtre de son agent Ajit Dewani. Aujourd'hui à Bollywood on n'hésite plus à demander la protection de la police. «La peur d'être sur une liste noire existe toujours. Personne ne sait qui est visé exactement, mais des noms circulent», dit un scénariste. Dernière psychose en date : le kidnapping de chiens. Récemment l'enlèvement de Rambo, le toutou de l'acteur Shah Rukh Khan, faisait la une des journaux.

(1) «Bollywood Film Studio», CNRS Editions.

Stéphane Arteta


Qui est ce joli petit enfant ? A vous de le decouvrir parmi ces stars de Bollywood ?

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