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Tuesday, October 7, 2008

Lille 3000

Assister à la Rambla des éléphants, se promener à Victoria Station ou écouter le mix des Djs indiens, nul besoin d'aller en Inde pour cela : depuis le 14 octobre, un aller simple pour Lille suffira. Pendant trois mois, la ville va vivre au rythme de Bombay avec une manifestation hors normes, à l'image de la mégalopole indienne : dix-neuf lieux d'exposition, dix installations dans l'espace urbain, cinq week-ends à thème, soit une programmation à la pleine mesure de la richesse culturelle et artistique de l'Inde contemporaine.
On peut choisir de découvrir Lille 3000 au rythme frénétique des week-ends « Midi-Midi » et passer ainsi du samedi au dimanche d'une exposition à des contes, d'un massage aryuvédique à une soirée clubbing, pour se réveiller en douceur au son d'un raga traditionnel.
Mais on peut également apprécier Lille 3000 et ses Métamorphoses indiennes simplement au détour d'une rue, avec les hologrammes de Mira Nair ou les expérimentations musicales de Mukul Pavel.
Lille 3000 est un formidable livre d'images à ciel ouvert, inventaire poétique et coloré d'une Inde contemporaine méconnue, à mi-chemin entre Londres et Bombay

La fête a commence samedi à 18 heures, avec le baptême de géants indiens et nordistes sur la Grand-Place, puis parade rue Faidherbe au milieu des pachydermes. Mille deux cents danseurs de tous les quartiers lillois, emmenés par la compagnie Montalvo-Hervieu, les feux d'artifice, des gitans et des brass bands du Rajasthan, les locaux de Swing Gadjé, les harmonies municipales de la région, et des DJ indiens, Ganesh, Krishna, Swami...
«En famille». Maxime, responsable clientèle dans l'industrie, savait tout juste «placer l'Inde sur une carte du monde». Il a accepté de danser dans la parade, avec ses filles de 9 et 12 ans, «pour vivre quelque chose en famille». Depuis il regarde des films de Bollywood, écoute de la musique indienne raga, et se «laisse cueillir par l'Inde».
Mais pourquoi l'Inde, au fait ? «On a regardé ce qui avait réussi en 2004, répond Martine Aubry, la maire de Lille. Entre autres, les Mondes parallèles, ces week-ends intenses consacrés à un pays ou une culture, New York, la Jamaïque. Un pays, donc. «L'Inde, parce qu'y cohabitent plusieurs cultures et religions, un continent à la fois fier de ses racines et projeté vers l'avenir.»
Novlangue. Et à quoi tout ceci va-t-il ressembler ? A un Lille 2004 sauce chutney ? Pas seulement. Certes, il y aura toujours la novlangue façon Didier Fusillier, le directeur de Lille 2004, puis 3 000 ( les Métamorphoses , la Ville organique ) . Il y aura encore l'objet marketing avec son logo ­ cette fois le Petit Poucet et ses bottes de sept lieues, le logo de Lille 2004, à quatre bras, comme le dieu Shiva ­, ses porte-clés, stylos, sacs. L'ambiance «plan média» est très rodée, mais le retour sur investissement le justifie : «On a gagné dix à quinze ans de notoriété en une année avec Lille 2004», rappelle la maire, qui pense par ailleurs la culture comme outil de cohésion sociale. «C'est ce qui réunit les hommes. A part les matchs de foot, il n'y a pas grand-chose d'autre.»
Le mécénat privé explose : 45 % de sponsoring (contre 18 % pour Lille 2004). Pas de financement de la région, ni de l'Etat ni de la communauté urbaine. Et 3 millions d'euros d'excédents de Lille 2004, réinvestis. Mais, comme pour Lille 2004, l'agaçant vernis marketing mis à part, on devrait y croiser de belles choses.
Chaos organisé. «Ce n'est pas une expo d'art contemporain, ni une biennale. On a invité les artistes à monter leur Inde», assure Didier Fusillier. Que l'on croit sur parole, quand il confesse avoir pris une claque à Bombay ­ où 55 % des habitants vivent dans des bidonvilles ­, devant une enfant de 5 ans qui dormait par terre au milieu de la foule «sans parents, ni même une couverture».
Au Tri postal ­ un lieu à côté de la gare, jadis désaffecté, devenu emblématique grâce à Lille 2004 ­, on découvre l'expo «Bombay Maximum City» en phase de montage. Elle raconte le chaos organisé, la ville-bidonville, où on monte quand on rêve d'une vie meilleure, terre d'aventurier où l'on peut faire fortune, terre de mafia où pousse la haine inter religieuse. Avec 18 millions d'habitants, c'est plus que la Grèce, et c'est la ville qui s'étend le plus vite au monde.
Micro-trottoir. Un siège de toilettes sur le mur, prolongé d'un tuyau, une allure de Ganesh, le dieu à tête d'éléphant. Anita Dube, de New Delhi, l'a emballé dans un velours couleur safran, celle du parti du peuple indien ­ BJP, l'extrême droite hindouiste. Un porte-savon emballé dans le même orange, porte le trident de Shiva. «J'ai peur de la progression de l'extrême droite partout dans le monde et de cette obsession de la pureté, dit l'artiste. Leur rhétorique joue sur la séduction, comme le velours, mais ce sont les mêmes qui violent les bonnes soeurs et lynchent les musulmans.»
Non loin, c'est un micro-trottoir ­ pas sous-titré ! ­ dans des petites télés posées dans ce qui ressemble à des bidons de lait éventrés. En fait, des dabbawalas, les boîtes distribuées dans la ville, chaque midi, système unique au monde de millions de repas acheminés quotidiennement aux travailleurs.
«Ça fait des années que j'attends quelque chose de ce genre», s'enthousiasme Lua, 23 ans, née en Inde, et immigrée en France à 10 ans avec ses parents. «Je partagerai ma culture avec les gens de Lille.» Elle attend le Diwali, la fête de la lumière, le concert d'Asha Bosle, légende vivante de Bollywood, ou celui d'Anoushka Shankar, fille de Ravi, et la comédie musicale Bharati.
Une Lilloise férue de musique et de cinéma indiens craignait «les mêmes sempiternels trucs, les dieux et le kitsch de Bollywood. Mais ça ne sera pas le cas. On a fait appel à des artistes contemporains» . Tout juste regrette-t-elle l'absence de Bombay Talkie, un film de James Ivory, inédit en France.
Trois cents manifestations en trois mois, ça veut dire qu'on ne verra pas tout, à moins d'être rentier. Pourquoi une telle profusion ? «C'est comme lorsqu'on va en Inde, argumente Didier Fusillier. On est pris dans un grand flash. Nous avons voulu laisser la même impression : le pays de l'excès, il fallait l'exprimer par un projet de l'extrême. On ne peut pas faire le touriste.»

En décembre 2003, la ville de Lille lançait l’opération Lille 2004 Capitale européenne de la culture, qui allait la placer pendant presque un an sous les feux des médias nationaux et internationaux. Les organisateurs sont ainsi très fiers de rappeler, comme le rapporte Le Journal du dimanche de ce 15 octobre, que « 4 000 journalistes venus du monde entier » avaient couvert l’événement [1] et que « le prestigieux Financial Times a même nommé la petite Lille (200 000 habitants, 1 million avec l’agglomération) "ville française du futur". »

A l’occasion de Bombaysers de Lille 3000 (trois mois de manifestations aux couleurs de l’Inde), la ville devrait revivre, à une moindre échelle peut-être, cette surexposition médiatique [2]. Ce sera en partie grâce au voyage de presse organisé les 13 et 14 octobre. Deux jours pendant lesquels les journalistes de la presse nationale et internationale ont été bichonnés. De façon logique, la presse locale annonce l’événement depuis de longs mois. De façon tout aussi logique, celle-ci a accordé une place conséquente à la fête d’ouverture de ce 14 octobre, qui aurait attiré environ 130 000 personnes.

Cependant, tous les spectateurs ont-ils assisté au même événement que celui décrit dans les colonnes de La Voix du Nord du lendemain (dimanche 15 octobre) ? « Manifestation haute en couleurs », « stupéfiants effets pyrotechniques », « foule en liesse », « marée humaine »... Bref, comme le résume le titre qui barre la une du quotidien lillois, « Lille [était] sous le charme d’un nocturne indien ». Aucune fausse note, donc, pour cette ouverture. Aucun bémol non plus dans le sempiternel micro-trottoir de bas de page : « féerique », impressionnant », « déferlement de couleurs », « si harmonieux », « sublime »...

Parmi tant de louanges, la place manquait sûrement pour mentionner ces trois quarts d’heure de retard sur l’horaire prévu pour le début de la parade. De même, seuls les chanceux placés au premier rang, le long du parcours de la parade, ont pu voir les 1 400 danseurs bénévoles tant annoncés. Les autres ont dû se contenter d’apercevoir quelques morceaux de voiles colorés s’agiter au-dessus des têtes. Pas une ligne là-dessus. Il est vrai que les photographes de presse et les cameramen étaient plus vernis : des nacelles élévatrices avaient été disposées aux endroits stratégiques pour leur permettre de faire de belles images. Rien non plus dans La Voix du Nord sur le long temps mort entre le passage des danseurs et l’arrivée des chars qui composaient la parade. Au point que l’allée centrale était depuis longtemps à nouveau occupée par la foule quand ces derniers sont arrivés. D’autres spectateurs avaient déjà plié bagage.

On pourrait ajouter à la liste la longue demi-heure d’attente avant que le feu d’artifice (d’ailleurs pas annoncé clairement dans le dépliant officiel) ne se décide à démarrer. Ou encore cette sono d’une des scènes principales, sur la Grand place, qui a disjoncté à de nombreuses reprises, laissant les spectateurs un peu perplexes devant ces danseurs qui s’agitaient dans le vide. Visiblement, La Voix du Nord n’était pas là pour le constater ou n’a pas jugé utile de le signaler... Et pourtant, sa majestueuse façade donne précisément sur la Grand place de Lille. Le quotidien a préféré fixer son attention, justement, sur cette même façade, parée d’un décor lumineux rappelant un « palais de maharadjah ». La quatrième de couverture de son édition dominicale comporte même une photo pleine page, dont la légende précise qu’à l’allumage des « 13 000 lampes », « des "Oh !" et des "Ah !" s’élèvent du bas. Les flashs crépitent. Un journal paré aux volutes indiennes, voilà qui est du plus bel effet dans la nuit lilloise. » Toute la soirée, La Voix du Nord a d’ailleurs fait défiler sur son panneau d’information un message précisant qu’elle est « partenaire de Lille 3000 » et que l’illumination de sa façade se fait « grâce au concours d’EDF... » Les seules critiques de La Voix du Nord sont finalement exprimées... par ses lecteurs, dès lundi 16 octobre, sur le site internet du journal...

La fête était-elle pour autant un bide ? Non, mais à côté des nombreux aspects sympathiques, rapportés en long et en large, il aurait été plus honnête de signaler également les loupés. Faut-il voir dans ce compte-rendu sélectif un rapport avec le partenariat signé il y a quelques semaines par le journal et le comité d’organisation de l’événement ? Ce partenariat s’est déjà matérialisé, entre autres, par la publication le 20 septembre d’un supplément de 40 pages annonçant le programme des trois mois de manifestations. Ecrit par des journalistes de La Voix du Nord et de Nord Eclair [3], ce cahier ne manque jamais de préciser, en note de fin d’article, le nom des partenaires de chaque spectacle, constitués d’institutions et d’entreprises (pour les plus connues : EDF, Auchan, SFR, Accor...).

Nord Eclair aussi a signé ce partenariat et le supplément en question a également été diffusé encarté dans ses éditions. Ses journalistes, tout en partageant l’enthousiasme général, ont pourtant traité l’ouverture de Bombaysers de Lille 3000 avec davantage de distance [4].

Dès la première page, le ton est plus mesuré : « Fierté, ébahissement devant les décors, mais aussi critiques sur le démarrage de la fête...les avis étaient partagés. » Nord Eclair a ainsi remarqué le retard important pris par le cortège, estimé l’« attente plombante entre les enchaînements », fait « un constat criant : l’absence d’écrans géants » (qui rendait « impossible de suivre la parade dans son intégralité »), noté « des applaudissements polis, rarement de la clameur » (là où La Voix du Nord parle de « foule en liesse »...). Ce qui n’empêche pas le quotidien d’être également touché par de jeunes danseurs de hip-hop de la région lilloise qui ne s’étaient sûrement jamais produits devant tant de public. Ni de sacrifier à la photo, prise sur les marches de l’opéra de Lille, de « Martine Aubry, habillée en princesse indienne » et qui « avait adopté la zen attitude » pour cette soirée de lancement [5]. Le mari de la maire de Lille (absent de la photo) était, quant à lui, « vêtu en maharadjah », nous précise la journaliste. En d’autres occasions, Martine Aubry ne s’est pas privée de fustiger la « peopolisation » de la vie politique...

Plus d 'infos sur ce site :

http://www.indealille.com/

http://www.lille3000.com/

Video de la parade FR3 :

http://nord-pas-de-calais-picardie.france3.fr/videojt/

Blogs Lille 3000 :

http://bombaysersdelille3000.over-blog.net/

http://www.lille3000.net/


Don - The Chase Begins Again ...

Acteurs : Shahrukh Khan, Priyanka Chopra, Arjun Rampal, Kareena Kapoor, Ishaa Koppikar, Boman Irani, Om Puri, Mallika Sherawat, Chunky Pandey (Special Appearance)


Réalisateur : Farhan Akhtar

Music : Shankar-Ehsaan-Loy
Music Review : 3/10 A part deux tres belles chansons le reste ne vaux pas grand chose car c'est surtout des reprises, donc mes deux chansons préférés sont Khaike Paan Banaraswala et celle que j'ai mis dans la jukebox Mourya Re


Année : 20 Octobre 2006


Site Officiel : http://www.donthefilm.com/

Genre : Action, Romance


Résumé : Don (Shahrukh K), le chef d'un gang international est grièvement blessé lors d'une confrontation policière.

Le DSP D'Silva (Om Puri) trouve un sosie,Vijay (Shahrukh K) un père veuf qui a besoin d'argent, il décide alors de le recruter pour prendre la place du gangster et Jasjit (Arjun Rampal) un officier hors pair, le forme afin qu'il devienne le vrai faux Don.

Le "retour" de Don/Vijay au sein du gang semble être un succès jusqu'au moment où le DSP se fait tuer et que sa couverture est compromise. Il se retrouve recherché autant par la police que la bande de malfaiteurs.

Don/Vijay se voit contraint d'essayer de sauver sa vie et celle de son fils. Dans cette tentative désespérée de prouver son innocence, il est aidé par Roma (Priyanka Chopra) et Jasjit. Mais Don/Vijay va- t-'il pouvoir accomplir sa mission et parvenir à faire basculer la situation?

Les secrets du tournage (plus d'infos sur le film) :

  • Le role de J.J a été d'abord proposé à Akshay Kumar, qui celui ci a refusé car il voulait avoir le role principale. Le role a été offert à Arjun Rampal finalement.
  • Don est le remake du film du meme nom de 1978.
  • Priyanka Chopra a du prendre des cours d'art martiaux spécialement pour son role dans ce film.
  • Srk a prété sa voix, pour quelques phrases, dans la chanson Khaike Paan Banaraswala.
  • Kareena Kapoor dance sur la chanson "Yeh Mera Dil" répris du film original.
  • On trouve donc deux chansons originals du film de 1978, Khaike Paan Banaras Wala et Yeh Mera Dil remixés.
  • Quelques scènes du film a été tourné en France, à Paris.
  • Dans l'original, Don est vivant et ce fait arreté par la police tandis que dans le remake il meurt.
  • C'est la premiere fois que Shahrukh Khan et Priyanka Chopra jouent ensemble.



Photos :

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DOWNLOADS SECTION :

MP3 :

VIDEOS :

Main Hoon Don Video

http://www.sendspace.com/file/l8xl97

(le lien est tout en bas)

Don Promo Download

http://rapidshare.de/files/28172550/DON_1.avi.html

http://d.turboupload.com/d/843778/DON_1.avi.html


Khosla Ka Ghosla

Acteurs : Anupam Kher, Boman Irani, Parvin Dabas, Tara Sharma, Naveen Nischol, Ranvir Shorey, Vinay Pathak.


Réalisateur : Dibakar Banerjee

Music : Bapi - Tutul
Music Review :


Année : octobre 2006


Site Officiel : http://utvmotionpictures.com/khoslakaghosla-movie.asp#

Genre : Comedie


Résumé : Kamal Kishore Khosla est un homme qui pensant agir pour le mieux, tient à tout contrôler autour de lui, que ce soit dans sa vie ou dans celles des autres. Ce monsieur d’un âge respectable, a travaillé toute sa vie et épargné suffisamment d’argent pour se constituer un joli pactole. Il a une obsession : s’acheter un terrain à New Delhi afin d’y construire une maison dans laquelle il coulera une vieillesse heureuse entouré des siens reconnaissants. Il finit par s’acheter le terrain de son choix, mais se rend compte qu’il a été victime d’une escroquerie, le terrain étant inscrit non pas au nom du vendeur, mais au nom d’un requin de l’immobilier, un personnage aussi suave que rapace. Ce dernier refuse de reconnaître les droits de Khosla tant que ce dernier ne se sera pas acquitté d’une énorme somme d’argent. Déjà sous pression, sa famille est sur le point de craquer et d’éclater. Khosla lui-même ne sait plus quoi faire. Il a tout essayé, eu recours à tous les stratagèmes, même les plus farfelus, tout cela en vain. Alors qu’il se prépare à accepter son sort, des gens dont il n’attendait absolument rien viennent lui offrir leur aide. Ils ont un plan qui paraît des plus fous, mais à y regarder de plus près, ce plan paraît aussi des plus viables…


Photos :


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Qu'ont fait nos grandes stars de Bollywood cette semaine ?????

Les grands evenements à Bollywood de la semaine derniere en images ;

Lancement du film Sholay en présence de Amitabh Bachchan.

La Sortie de la BO de APNA SAPNA MONEY MONEY avec tout le casting du film Riya Sen, Ritesh Deshmukh, Shreyas Talpade, Celina Jaitley, Koena Mitra et en invité Salman Khan :

Priyanka Chopra et Shahruk Khan au tournoi international du cricket entre l'Inde et l'Angleterre

Une partie en l'honneur de la sortie tres prochainement du film Jaan E Maan avec Salman Khan et Akshay Kumar :

Kareena Kapoor inaugure une marque de bijoux.

John Abraham et Bipasha Basu à une soirée pour le lancement de bijoux aussi.


Acteurs : Ayesha Takia, Gul Panag, Shreyas Talpade, Girish Karnad and Pratiksha Lonkar


Réalisateur : Nagesh Kukunoor

Music : Salim - Suleiman
Music Review : Moyen 2/10


Année : 22 Septembre 2006


Site Officiel : http://www.dorthefilm.com/


Résumé : Le film parle de deux personnages avec des principes, qui sont de conditions sociales différentes mais avec un lien très intime. Zeenat (Gul Panag) est jeune une dame indépendante, assurée, mariée qui vit dans un village à distance de Himachal Pradesh. Meera (Ayesha Takia) réside dans le rural Rajashtan et est la femme de ménage d’un Rajput. Une nouvelle change leur vie, qui arrive d'un intérêt commun, s'étend avec de ces deux étrangers et contraint leur vie à ne plus être la même. Alors la recherche commence par passer pour obtenir une vie habituelle et heureuse de nouveau. Il y a un Bahuroopiya (indiscipliné) (Shreyas Talpade) qui entre dans l'image et peut-être les aides se démêlent les mystères menant dans une fin puissante et inattendue. Les questions sautent dans l'esprit à quelle distance on peut aller sauver son amour en combattant tous les chance et même destin ?


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WohLamhe.com

Acteurs : Shaad Randhawa, Kangna Ranaut, Shiny Ahuja, Masumi Makhija, Purab Kohli, Anita Wahi, Ram Prakash, Preeti Kopikar, Abbas


Réalisateur : Mohit Suri

Music : Prittam


Music Review : 3/10 Tres belle BO tres mélodieux. Chansons Préférés : So jaoon Main et Tu Jo Nahin.


Année : Septembre 2006


Site Officiel : http://www.wohlamhe.com/

Genre : Romance, Drame


Résumé : Alors que le soir descend sur Mumbai, capitale du cinéma indien, l'actrice Sana Azeem, seule dans sa chambre d'hôtel, se taillade les poignets. Lorsque la nouvelle parvient aux oreilles du cinéaste Aditya Garewal, ce dernier est bouleversé. Cela fait trois ans qu'il est à la recherche de Sana, celle-ci avait complètement disparu de sa vie et ces retrouvailles pourraient bien être les derniers instants que vit l'actrice. Alors qu'Aditya se rend aux nouvelles dans la salle d'attente des urgences, il se remémore la rencontre avec Sana et les premiers moments qu'ils ont passés ensemble. Alors qu'il n'était encore qu'à ses débuts en tant que réalisateur, Sana Azeem était elle, déjà une superstar désirée de tous. Mais elle vivait en fait sous la coupe de Nikhil, son amant, vedette de cinéma également. Ce dernier l'exploitait, la « prêtant » aux producteurs et aux réalisateurs afin d'assurer sa propre carrière. Méprisant ce que représentait Sana, Aditya avait alors déclaré à la presse qu'il la trouvait laide et que selon lui, elle n'avait aucun talent. La réaction de Sana n'avait pas tardé : elle avait défié Aditya de la faire tourner dans son prochain film. Le jeune réalisateur avait accepté. Sur le plateau, il avait découvert non seulement une actrice douée et sincère, mais aussi une femme vulnérable et solitaire que tous exploitaient, y compris lui. Rompant avec son milieu, Sana état entrée dans la vie d'Aditya. Mais ses vieux démons n'étaient pas prêts de la lâcher...

CRITIQUE:

À lire les commentaires enthousiastes, Woh Lamhe, semble être une réussite. Ce film raconte en fait la véritable histoire de la relation amoureuse entre l'actrice Parveen Babi et le cinéaste Mahesh Bhatt encore à ses débuts. Tous parlent d'un succès, au moins sur le plan artistique. Belles images, scénario et dialogues découpés dans le réel, belles prestations d'acteurs et belle musique, Woh Lamhe aurait tout pour être aussi un succès commercial chez nous.


Photos :


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